Le procès-spectacle à l’encontre de Mgr. C. M. Viganò arrache les masques des ennemis cachés du Christ

Regardez cette vidéo sur : https://vkpatriarhat.org/fr/?p=17797

Abonnez-vous aux newsletters du PCB https://bit.ly/3Ozi9Rt

Le procès-spectacle contre l'archevêque Carlo Maria Viganò a révélé qui est qui. Qui est du côté de l'hérétique manifeste Bergoglio et qui est du côté du Christ et de la vérité, c'est-à-dire du côté de l'archevêque Viganò.
Le Patriarcat répond aux articles des médias.
Roberto de Mattei, historien, a commenté : « Mgr Strickland a reconnu l’autorité du pape François, refusant de suivre les conseils des conservateurs et/ou traditionalistes américains qui l’incitaient à défier la décision du pontife ».
L'historien De Mattei a raison ; L’évêque Strickland a reconnu et reconnaît toujours l’autorité du faux pape François en tant que pape légitime, même aujourd’hui, à la suite dès la déclaration Fiducia Supplicans. Ce faisant, il s’est aligné sur son apostasie et sa rébellion contre Dieu. Faire appel à une soi-disant obéissance au Saint-Père est absurde. Bergoglio, qui s'est excommunié de l'Église, ne peut en être le chef, comme l'affirment les Pères et les Docteurs de l'Église.
De Mattei se réfère en outre à la constitution Pastor aeternus : « Mais lorsque le pape prend des décisions qui concernent la discipline et le gouvernement de l'Église, sans transgresser directement la loi divine et naturelle, ce qui est obligatoire n'est pas la résistance mais l'obéissance... ».
Mais dans le cas de Bergoglio, les décisions ne se prennent pas sans transgresser directement la loi divine et naturelle. Il l’a déjà transgressée dans Amoris laetitia, où il a pratiquement abrogé les commandements de Dieu et nié l’existence de normes morales objectivement valables. Il a remplacé la loi divine par une approche subjective. Avec la déclaration dogmatique Fiducia supplicans, il annule de facto tout le décalogue. Dans Ad theologiam promovendam, il a posé le principe du changement de paradigme, affirmant que tout ce qui est contraire à ce qu'il a décrété est nul et non avenu. De cette façon, il a invalidé les Écritures et la Tradition. Il s’ensuit que ce qui constitue une obligation sacrée, c’est la désobéissance et la résistance à ce que l’apostat Bergoglio a décrété.
Citation de Mgr Schneider : « Il n’existe aucune autorité pour déclarer ou considérer qu’un pape qui a été élu et généralement accepté est un pape invalide ».
Par cette déclaration, Schneider montre clairement que pour lui, il n'y a pas d'autorité en dehors de l'apostat Bergoglio – ni l'autorité des Saintes Écritures, ni l'autorité de la Tradition, c'est-à-dire les Pères et les Docteurs de l'Église qui déclarent sans équivoque qu'un pape hérétique est exclu par Dieu de l'Église et ne peut donc pas en être le chef. Saint Bellarmin déclare : « Et c'est ce qu'écrit saint Jérôme, ajoutant que les autres pécheurs sont exclus de l'Église par une sentence d'excommunication, mais que les hérétiques s'exilent et se séparent par leur propre acte du corps du Christ… Les non-chrétiens ne peuvent en aucun cas être pape… ne peuvent pas être le chef de ce dont ils ne sont pas membres. Celui qui n'est pas chrétien n'est pas membre de l'Église, et un hérétique manifeste n'est pas chrétien, comme l'enseignent clairement saint Cyprien (lib. 4, épist. 2), saint Athanase (Scr. 2 cont. Arien. ), saint Augustin (lib. De grat. Christ. cap. 20), saint Jérôme (Dial. contra Luc.) et autres ; donc l’hérétique manifeste ne peut pas être pape. »
La déclaration de l’Écriture est claire : « Si quelqu’un prêche un autre évangile, qu’il soit exclu, maudit – anathème » (Galates 1, 8-9).
Citation de Schneider : « La pratique constante de l'Église montre clairement que même dans le cas d'une élection invalide, cette élection invalide sera de facto guérie grâce à l'acceptation générale des nouveaux élus par l'écrasante majorité des cardinaux et des évêques ».
Or, si un hérétique est élu, cette élection est invalide selon la bulle dogmatique de Paul IV, même s'il est élu à l'unanimité par tous les cardinaux. La bulle déclare en outre que toutes les actions de cet hérétique sont sans force. Se référer dans cette situation à la pratique constante de l'Église est inadéquat, car il est sans précédent dans l'histoire que le soi-disant Pape publie une déclaration doctrinale autorisant la bénédiction du péché scandaleux de la sodomie ou que le Pape se consacre publiquement à Satan.
Citation de Schneider : « Même dans le cas d’un pape hérétique, il ne perdra pas automatiquement sa fonction… ».
Cette déclaration de Schneider révèle soit son ignorance, soit une tromperie délibérée.
L'interprétation du droit canonique par les canonistes Wernz et Vidal s'appuie sur la bulle dogmatique Cum Ex Apostolatus Officio, sur les enseignements des Pères de l'Église comme saint Cyprien, saint Athanase, saint Augustin ou saint Jérôme, et des docteurs de l'Église Tels que saint Cyprien, saint Athanase, saint Augustin ou saint Jérôme, et des docteurs de l’Eglise tels que saint Bellarmin (1610), saint François de Sales (1622), saint Antoine, évêque (1459), ou encore saint Alphonse de Liguori. Dans leur interprétation du droit canonique datant de 1943, ils donnent l’explication suivante : « Par une hérésie notoire et ouvertement divulguée, le Pontife romain, s’il tombe dans l’hérésie, est par-là même [ipso facto] considéré comme étant privé du pouvoir juridictionnel avant même tout jugement déclaratoire de l’Église ».
Citation de Schneider : « … et il n’y a aucun organisme au sein de l’Église pour le déclarer (lui, un pape manifestement hérétique) destitué pour cause d’hérésie ».
Saint Bellarmin, au contraire, dit : « La vraie opinion est donc celle selon laquelle le Pape qui est manifestement hérétique cesse par lui-même d'être Pape et chef, de même qu'il cesse d'être chrétien et un membre du corps de l'Église; et c'est pour cette raison qu'il peut être jugé et puni par l'Église. C'est l'opinion de tous les Pères qui enseignent que les hérétiques manifestes perdent immédiatement toute juridiction, et notamment celle de saint Cyprien ».
Schneider dit qu'il n'y a aucun organisme au sein de la soi-disant Église actuelle pour déclarer le soi-disant Pape comme ayant été destitué pour cause d'hérésie. Cela prouve que l'Église est aujourd'hui occupée par la secte bergoglienne, qui a pris toutes les positions clés. Schneider est un apologiste de cette secte. En apparence, il rejette pour ainsi dire la déxlaration Fiducia supplicans, mais en même temps, il se soumet à son auteur et accepte donc en fait cette déclaration.
Citation de l'historien De Mattei : « Mgr Schneider suit l'enseignement de saint Alphonse de Liguori ».
Schneider ne suit pas l'enseignement de saint Alphonse de Liguori. Saint Alphonse dit ce qui suit : « Si Dieu permettait à un pape de devenir un hérétique notoire et contumace, il cesserait de ce fait d'être pape et la chaire apostolique serait vacante (sede vacante)». Cela s’applique pleinement à Jorge Bergoglio.
Citation de l'historien De Mattei : « Mgr. Schneider suit l'enseignement du… cardinal Billot et de l'école de théologie romaine, selon laquelle celui qui est généralement accepté comme pape est le véritable pontife ».
Si quelqu’un est généralement accepté comme pape, on suppose qu’il n’est en aucun cas un hérétique manifeste. Un hérétique manifeste n'est même pas membre de l'Église, comme l'écrit saint Bellarmin : « Le pape qui est manifestement hérétique cesse par lui-même d'être pape et chef, de la même manière qu'il cesse d'être chrétien et membre du corps de l’Église ». Cela est également confirmé par les Pères et les Docteurs de l'Église.
Citation de l’historien De Mattei : « … parce que si l’Église entière devait adhérer à un faux pape, elle s’en tiendrait à une fausse règle de foi ».
C’est exactement ce à quoi nous assistons aujourd’hui. Un faux pape oblige toute l’Église catholique, tous ceux qui restent avec lui, à s’en tenir à une fausse règle de foi, transformant l’Église en une anti-Église du Nouvel Âge. Dans son motu proprio Ad theologiam promovendam, Bergoglio admet même publiquement qu'il change les paradigmes de base, ou en d'autres termes, qu'il établit de fausses règles de foi. Ce faisant, il prouve également rétroactivement qu’il est bien un faux pape.
Citation de l’historien De Mattei : « On peut isoler de nombreuses paroles ou actes du pape François et montrer que, objectivement, ils ne visent pas le bien des âmes. Mais il existe d’autres actes de son pontificat qui ne présentent pas ces caractéristiques (par exemple, la proclamation de l’année Saint Joseph le 8 décembre 2020)… » .
L’historien De Mattei doit plaisanter. S’il est sérieux, il ne fait que construire des problèmes intellectuels artificiels. Cependant, il ignore totalement la réalité fondamentale, qui est l’iniquité commise dans le lieu saint, c’est-à-dire l’apostasie commise dans la plus haute fonction de l’Église. Rappelons-le encore : le 1er novembre 2023, Bergoglio a publié le motu proprio Ad theologiam promovendam, instaurant ainsi le principe d’un changement de paradigme. Par la suite, le 18 décembre, il publia la déclaration doctrinale Fiducia supplicans, dans laquelle il légalisait le grave péché de la sodomie et introduisait sa bénédiction. Ce faisant, il a de facto invalidé le Décalogue et le Credo, et a transformé l’Église catholique en une anti-Église New Age. De Mattei ignore totalement ce fait fondamental selon lequel Bergoglio s’est révélé être un hérétique manifeste.
L’archevêque Carlo Maria Viganò souligne les hérésies et les crimes de Bergoglio. Conformément à l'enseignement de l'Écriture et des Pères de l'Église, il prouve qu'il n'est pas un pape valable. Dans ses déclarations, De Mattei dénigre grossièrement le véritable archevêque catholique afin de faire taire ce principal témoin du Christ. Le Seigneur Jésus devrait dire aujourd’hui à Roberto de Mattei : « Malheur à vous, pharisiens hypocrites, engeance de vipères ! Car vous coulez le moucheron et avalez lr chameau ! Vous n’entrez pas vous-mêmes dans le royaume des cieux, et vous ne permettez pas non plus à ceux qui y pénètrent d’y entrer » (cf. Mt 23,23s).
Le portail italien « La Nuova Bussola Quotidiana » s’est également révélé peu sérieux, rempli de théories du complot indignes de confiance. Un exemple est la manipulation grossière et le dénigrement ignoble du véritable archevêque catholique Viganò. Alors, à qui le portail s'adresse-t-il ? Un journaliste hypocrite a récemment publié un autre canular en écrivant : « Depuis plusieurs mois, des informations circulent sur la reconsécration que Mgr Carlo Maria Viganò, ancien nonce apostolique à Washington, devrait (soi-disant) recevoir ».
Le conspirateur, voulant trouver un argument afin de confirmer sa théorie, a écrit qu'il s'était adressé à Mgr. Viganò, qui ne répondit qu'avec surprise quant à la raison pour laquelle Bussola s'adressait à lui. Ce portail le diffame constamment. Le journaliste a cependant conclu de sa surprise que son complot était confirmé. Nous ne voulons pas discuter ici de la méchanceté, de l’hypocrisie et de la manipulation que Nuova Bussola commet afin de détruire la vérité elle-même et pour défendre la voie du mensonge et de l’apostasie. Nous nous contenterons de le résumer brièvement : Bussola utilise les méthodes du courant dominant – des mensonges, des mensonges et encore des mensonges.
Schneider a écrit : « Je déplore que Mgr Viganò utilise un langage irrespectueux ».
Mgr Viganò n'utilise aucun langage irrespectueux ; au contraire, il appelle les choses par leurs vrais noms, conformément aux Saintes Écritures. De plus, Jésus prononça des paroles très dures à l’égard des Pharisiens, les traitant de couvée de vipères, de serpents, de sépulcres blanchis et d’hypocrites. Schneider ne parvient pas à distinguer l'essentiel, à savoir que Mgr Viganò conduit les gens sur le chemin de la vérité et de la repentance et donc vers le salut, tandis que le faux pape Bergoglio conduit les gens à la damnation éternelle à travers les hérésies et la sodomie. Et c'est une différence fondamentale.
Selon Schneider, Bergoglio utilise probablement un langage respectueux lorsqu'il commet un blasphème et prétend que le Seigneur Jésus « s'est fait Lui-même le serpent et le diable » pour nous. Bergoglio a également grossièrement diffamé l'archevêque Viganò, le qualifiant d'« accusateur des frères » et de « serviteur de Satan ». Mais Schneider ne s'en plaint pas.
Citation des médias : « La Fraternité sacerdotale Saint-Pie X (FSSPX) a publié le 24 juin une déclaration qui se distancie de Mgr Carlo Maria Viganò : « Dans son texte, Mgr Viganò fait une déclaration claire de sédévacantisme. Autrement dit, selon lui, le pape François n’est pas un pape… Sur ce point, ni Mgr Lefebvre ni la fraternité qu’il a fondée ne seraient d’accord ».
Au contraire, Mgr Lefebvre ne pouvait être d’accord avec les positions actuelles de la Fraternité. Contrairement à la Fraternité, Mgr Williamson, ordonné par Mgr Lefebvre, partage la même position que Mgr Viganò, à savoir que Bergoglio n'est pas un pape valide. Mgr Lefebvre adopterait certainement cette position. Mais de même que cette fraternité contradictoire a expulsé Mgr Williamson, elle expulserait aujourd’hui Mgr Lefebvre.
Citan ion des médias : « La Fraternité Saint-Pie X, en revanche, reconnaît le pape François comme un pape éminent… Les évêques et les prêtres de la Fraternité célèbrent la Sainte Messe en union avec le Saint-Père ».
Si les évêques et prêtres de la Fraternité célèbrent la Sainte Messe en union intérieure avec le soi-disant Saint-Père même après le 18 décembre 2023, ils acceptent l'hérésie de la déclaration Fiducia supplicans. Alors l'anathème de Dieu selon Gal 1,8, que Jorge Bergoglio s'est imposé, s'applique également à eux, et ils célèbrent la liturgie de façon invalide ! Le prêtre qui a reçu l'anti-évangile sodomite a aussi reçu l'esprit de l'antéchrist. L'esprit de l'Antéchrist ne peut pas consacrer.
Comment Mgr Viganò a-t-il commenté le procès-spectacle en cours ?
« Je tiens donc à préciser que je ne suis pas allé au Vatican [les 20 et 28 juin]… et que je n'ai remis aucune déclaration ou document pour ma défense au Dicastère, dont je ne reconnais pas l'autorité. Je ne reconnais pas non plus l’autorité de son préfet, et je ne reconnais pas non plus l’autorité de celui qui l’a nommé ».

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Évêques secrétaires

Le 2 juillet 2024