RichardAzzouz

Poetry revolutionized by Azzouz.

Sabotaging humanity!

Karma. and the Karmic laws.

Why are

What are we doing in the face of crimes against humanity? Can I trust you to be a human?

Why are they cruel?

Our existence in the physical world is to be understood. Before taking sides with the confused, the deceivers, the Satanists oppressors, the criminals. To be good is to do good. Do not forget about the Karmic justice.

Our existence in the physical world is to be understood. Before taking sides with the confused, the deceivers, the Satanists oppressors, the criminals. To be good is to do good. Do not forget about the Karmic justice.

French Protectorate of 1912 give Morocco a submissive oppressed Moroccans.

Anẓar, god of rain in Berber mythology. Achek, wife of the rain god Deng in Dinka mythology Mangwe, a water spirit known as "the flooder" in the beliefs of the Ila people of Zambia[1] Oya, goddess of violent rainstorms in Yoruba mythology Sinvula, god of rain in Bantu mythology Nanvula/Nomvula goddess of rain Bantu mythology Mbaba Mwana Waresa, goddess of rain in Bantu mythology Mpulu Bunzi, god of rain in Kongo mythology. Bunzi, goddess of rain in Woyo mythology (Kongo). Saa ngmin, God of rain in Dagaaba mythology (Upper West Region of Ghana) Fwha, Goddess of rain, fertile regions, and the rainy season in Akan mythology Amosu, name means 'Giver of Rain' from Akan mythology American

https://www.sharifian-history.info/Francais.html

Tableau par E. Delacroix, 1845. Sultan Haj Abderrahman ben Mohammad ben Abdallah ben Ismail al-Aji entouré par ses garde du corps et ses officiers principales. Il sortait de son palais à Meknès, mars 23, 1832. (see Part IV) Courtoisie du Musée des Augustins, Toulouse Pour une explication sur la différence de noms voyez : Sharif Haj Abderrahman ben Muhammad ben Abdallah ben Ismail al-Aji, ca. 1778 ou 1789-1859 - était connu de vous depuis 1860 sous le nome de : Alaji Abderrahman ben Mohammad ben…. ou Alaoui Abderrahman ben Mohammad ben ….al-Aji, un Chérifien Ref: www.douane.gov.ma/Histoire_douane/GLOSSAIRE.htm Abderrahman a eu plusieurs fils, que j'ai pu nommer: (Portrait: see Part IV) Sharif Sidi Muhammad IV ben Abderrahman ben Muhammad ben Abdallah ben Ismail al-Aji, ca. 1803-1873 - ??? à mon père, à moi, à mes frères et proche cousins. Par Horace Vernet. Les français ont guidé un chef résistant, Abd al-Qadir, au Maroc, et le sultan a supporté le héros musulman en public. La guerre s’est déchenée entre le Maroc et la France en août 1844. Dans les frontière Algérienne, à Wadi Isly auprès d’Oujda, 30,000 hommes ont été mené par Sidi Mohammad ben Abderrahman, le fils du sultan. Ils ont été déroué par 11,000 troupeaux français. Le Jaysh Cherarda a été brisé par le feu pillant le camp marocain pendant qu’ils se sauvaient. Cf: Pennell, Morocco sinces 1830, p. 49. A cause de nombreuse manipulations continues provenant des pays de l’Ouest contre ma famille et le royaume, on devenaient anonyme vers la fin du 19ème siècle pour sécuriser et garantir la survie minime du membre de la famille qui restait. Les livres écrits sur l’histoire du Maroc La plus par des historiens, si ce n’est pas tous, sont des proches des ex-familles Sionistes de marchants du sultan = nommés « Tajer Assoltane » d’Essaouira ou d’autres villes du Maroc. Ils ont travaillé pour ma famille et pour le royaume dans le pays et à l’étranger. Chaque années, ses Tajer Assoltane on reçu une grande somme d’argent du trésor (Makhzen) du sultan – sans intérêts et sans risque personnel pour les marchants. On leur louait des maisons, des magasins et des facilités d'entre dépôt a un loyer très modeste sur l’ordre du sultan. En plus, Ils étaient permit d’importer et d’exporter des marchandises à des taxes favorable et était exclu d’une taxe nommé « Jizya ». Ses marchants devraient juste continuer à acheter de la marchandise dont le pays avait besoin et faire des affaires avec les Européens. Au lieu de cela, les Tajars Assoltane Juifs ont immédiatement gagné une confiance absolu des sultans qui leur permet de se faire une immense richesse et ainsi d’établir un mécanisme commercial en commençant par une banque qui donnait des prêts capitaux nécessaires envers leur sujet. Et quand leurs marchants sont de retour avec la marchandise, ils sont obligé de payé les intérêts sur la somme prêter, plus une commission pour le Tajar Assoltane. Le même Tajar Assoltane recevait une autre commission de la part du sultan quand il fessait les comptes avec lui. Et quand le sultan demandait au Tajar Assoltane de vendre des marchandises particulieres à l’Europe, la même tactique a été répétée, sauf que cette fois si l’argent restait en Europe. Ils amenaient avec eu juste l’argent absolument nécessaire pour garde la confiance du sultan et pour leur vie quotidienne. En plus, certain entre ses Tajar Assoltane travaillait en même temps pour des pays étrangers en fonction de Consul. Ainsi, ils sont devenu des protégées des puissances étrangères!!! C'est claire que dans de telles circonstances ses Tajar Assoltane avait que leur futures intérêts en vue et certainement ne protéger pas les intérêts du Sultanat. Dans la même phase une autre forme de revenus était créée, par exemple : à chaque fois que quelqu’un réclame qu’un Tajar Assoltane a des dettes en dehors du Maroc, le pays Européen réclame des réparations de la part des sultans. Cela était fait, la plus par du temps, par la force et la présence militaire ainsi les sultans n’avaient pas le choix que de payer. A un certain temps, la Grande-Bretagne, la France, l’Espagne, la Suisse et le Maroc avec leur historiens, ont été obligés d’intégrer leur faux monarque dans l’ancienne histoire des Nobles Princes Chérifiens assurant ainsi que le monde entier ne découvrira jamais leur crime. Pour cela ils n’avaient même pas hésité de falsifier la vraie orthographie, l’écriture, traduction et l’interprétation de notre nom : Ils prétendent : al-Alj, al-Elj, al-Eldj, al-Eulj, al-Ulj, al-Ilj même si le site-web marocain du tourisme a clairement mentionné: « Laalaj » = al-Aji ( voir partie III) Par contre, ils vous ont fait croire que les inscriptions sur les portes de Meknès et Essaouira se lisent : « Renégade » = C’est complètement faux !!!! (voir partie III) Ils vous enseignent cela juste pour une raison : 1. vous induire en erreur. 2. falsifier la légitimité du trône et ainsi recevoir l’accès légitime a l’héritage des Nobles Princes Chérifiens al-Aji. Par exemple voir : Meknés : Construite par le Sharif Ismail. Achèvement du fameux Bab al-Mansour Laalaj par son fils, Sharif Abdallah ben Ismail al-Aji en 1732.

Mohammed Ben Abdelkrim El Khattabi is said to be the first who aspired to unite the peoples of North Africa (Morocco, Algeria, Tunisia and Libya) and he was the first to use the Maghreb as a designation for all these peoples. He also supported the liberation movements in these countries and founded The Committee for the Liberation of the Maghreb in 1947. The main purpose of this committee was to reunite all the forces and the national parties struggling for the independence of Morocco, Algeria and Tunisia and to lay the foundations of a Maghrebian unity. Mohammed Ben Abdlkrim El Khattanbi died on February 6th, 1963 in Cairo. Unfortunately, after a history of resistance and sacrifice for the independence of his country, Mohammed Ben Abdelkrim El Khattabi is a forgotten hero and his struggle has gone into oblivion. We barely see, if ever, any TV programs talking about him or mentioning his glorious history. The same neglect applies to cinema, as there has been so far no film about him. When shall we reconcile with our history and revive it for a true breakthrough towards the future? Why do our filmmakers spend considerable budgets of taxpayers on ‘zero’ films that are replete with erotic scenes and vulgar language and almost no aesthetic and cultural value? We need films that respect our intelligence, our history, our present and future. We need films that tell us who is Mohammed Ben Abdelkrim El Khattabi, who is Youssef Ibn Tachafin, Tarik Ibn Ziyad, Allal El-Fassi, Mohammed V, Mehdi Ben Barka... Our dear filmmakers, if you can’t do so you are a total FIASCO!!

The establishment of the French protectorate in Morocco in March 1912 resulted from the implosion of the Moroccan polity after decades of European interference in Moroccan affairs. In November 1912, owing to British insistence that a buffer be created between French North Africa and Britain’s strategic base at Gibraltar, the French granted Spain a protectorate “sublease” of 7,700 square miles (20,000 square km) along Morocco’s Mediterranean coast. That territory was contiguous with Spain’s long-established enclaves of Melilla and Ceuta and reflected Spain’s desire to reestablish a colonial presence after the humiliating losses of the Spanish-American War (1898). Unfortunately for Spain, much of the protectorate was an inaccessible rural backwater of difficult mountainous terrain inhabited by dozens of Berber groups, known collectively as the Rif. Although those groups were nominally subject to the Moroccan sultan’s authority, most preserved considerable local autonomy and were absolutely opposed to being ruled by Spanish Christians. The Spanish government handed over the administration and “pacification” of the protectorate to the Spanish army. It was questionable whether that conscript force had the resources, leadership, training, and morale to carry out the charge effectively. Indeed, six years of subsequent military effort still left about three-fourths of the protectorate “unpacified.” Frustrated with the situation, in 1919 the Spanish government authorized the protectorate’s high commissioner, Gen. Dámaso Berenguer, to step up efforts to bring more of the protectorate under Spanish control. Berenguer, based in the protectorate capital of Tétouan in the western part of the zone, was assisted in the east by his more-aggressive subordinate, Gen. Manuel Fernández Silvestre. Berenguer’s primary focus was to make cautious advances into the mountainous Yebala region and occupy the holy city of Chefchaouene. Fernández Silvestre’s chief objective was to secure the strategic Alhucemas Bay in the central Rif as expeditiously as possible and to pacify the Beni Urriaguel, the most-significant, bellicose, and independent group in the Rif. Richard Azzouz Hawari

Le possesseur de tout Depuis 1906, la Suisse était impliquée dans toutes les affaires importantes du Maroc. Le Tribunal Fédéral, Lausanne a décidé du futur de la Banque d’Etat Marocaine. Et l’organisation de la police locale été confié à un Suisse, un inspecteur général - qui était lui même sélectionné par le Conseil Fédéral. Mais tout se passait avec l’accord de la France et de l’Espagne. La Grande-Bretagne a contrôlé le Maroc par le prêt que le Prince Chérifien était obligé de prendre pour installer des demandes de réparations de guerre Espagnole,(Britannique) - Marocain, (1859-1860) et en même temps de libérer Tetouan de l’occupation Espagnole. Plus tard, ses dettes Espagnoles ont été transférées en Grande-Bretagne et dans une série d’engagement de manœuvres financières compliquée des obligations ont été offert sur le marché de Londres garantie par le gouvernement Britannique. Jusqu’à se jour, le Maroc n’a jamais pu sortir de se piège. Voir : TA, Mars 2007, le Maroc cherche un prêt de € 654 millions. En 1873, Si Mohammad Tazi, un descendant de la tribu juive de Taza et Ba Ahmed ben Moussa, les deux très pro Britannique et très pro Français, est en collaboration avec la Suisse, ils ont aidé à préparer l’avenir du futur Protectorat Français. Le 12 mai 1912 était le jour de l’inauguration du Protectorat Français. Pendant deux ans, j’ai consulté beaucoup d’anciens livres, des archives diplomatiques, des documents privées, des historiens etc. et j’ai réalisé que l’histoire de mes ancêtres a besoin d’être réécrite. A se jour j’ai retrouvé notre « nom de famille » sur des monument construite par : Sharif Ismail Laalaj, (Laalaj = racine du mot), 1634-1727 Sharif Abdallah ben Ismail al-Aji, 1678-1757 Sharif Sidi Mohammed III ben Abdallah ben Ismail al-Aji, 1709-1790

The Rif (Arabic: الريف or الساحل, Berber languages: ⴰⵔⵉⴼ, translation: cape, coast) is a mountainous and green region of North Africa, with a coastline on the Mediterranean, bordering Tangier and extending as far as Saidia on the border with Algeria. This region has been distinguished from the rest of Morocco since the time of the two protectorates. The Rif was under Spanish protectorate with Tetouan as its capital, and the rest of Morocco was under French protectorate with Rabat as its capital. Since Morocco's recovery of the Rif (7 April 1956), there have been Riffian independence movements claiming their own independence from Morocco. The Rif includes eight provinces in northern Morocco, i.e. the eight provinces that were under Spanish protectorate, including: The Province of Tangier (40) Fahs-Anyera Province (41) The province of Larache (42) Province of Chaouen (43) Al Hoceima Province (45) Driuch Province (76) The province of Nador (50) Berkan Province (49) North Ouchda Province (48) Northern province of Taourirt (52) North of the province of Taza (46) It is a traditionally isolated and disadvantaged region. The mother tongue of the eastern part of the Rif Protectorate is "Riffian Berber" or tarifit (provinces of Al Hoceima, Driuch, Nador) and that of the western part (provinces of Fahs-Anyera, Larache, Chaouen) is dialectal Arabic. French and Spanish are the main foreign languages. The Rif region is not to be confused with the Rif Mountains, which extend beyond the region of the same name. The most notable localities are Chaouen, Taunat, Targuis, Al Hoceima (formerly Villa Sanjurjo), Driuch, Melilla, Nador and Kebdana. Part of this geographical area of North Africa includes the autonomous Spanish cities of Melilla and Ceuta.

''A se jour j’ai retrouvé notre « nom de famille » sur des monument construite par : Sharif Ismail Laalaj, (Laalaj = racine du mot), 1634-1727 Sharif Abdallah ben Ismail al-Aji, 1678-1757 Sharif Sidi Mohammed III ben Abdallah ben Ismail al-Aji, 1709-1790. Pour une explication sur la différence de noms voyez : Sharif Haj Abderrahman ben Muhammad ben Abdallah ben Ismail al-Aji, ca. 1778 ou 1789-1859 - était connu de vous depuis 1860 sous le nome de : Alaji Abderrahman ben Mohammad ben…. ou Alaoui Abderrahman ben Mohammad ben ….al-Aji, un Chérifien Ref: www.douane.gov.ma/Histoire_douane/GLOSSAIRE.htm Abderrahman a eu plusieurs fils, que j'ai pu nommer: Le protectorat français sur le Maroc, (1912), a changé l’ordre politique et les conditions internationales qui ont rendu capable un petit groupe de juifs d’avoir un rôle honorable dans l’histoire du Maroc. C’était la fin du rôle spécial qui parvenait aux marchants du sultan qui avait apporté tant de richesse et prospérité à Mogador et au Maroc. Les fils de Hayyim :mon grand-père Jacob Corcos (Mogador, 1881-1951), Salomon (d. à Manchester, 1923) et Mas’oud (Mogador, 1884-Tangier, 1936) ont suivi la voie de leur père et ont continué à s’engager dans le commerce local et international. Shlomo et Mas’oud ont émigré en Angleterre à cause des changements politique au Maroc. La bas, ils ont établis une entreprise florissante nommé : « M. Corcos & Co. » ,et ils ont continué à maintenir de proche relations d’affaires avec les membres de la famille à Mogador. Le fils de Mas’oud, Micheal Corcos (Londres, 1919-1997), était un docteur très connu qui a traité le lépreux au Nigeria. Il a confirmé que la maladie n’était pas contagieuse, (le contraire des opinions qui régnaient), et il a libéré ses patients en s’opposant aux ordres reçu par ses supérieurs. Cette histoire a alerté un vif débat en Angleterre. Il s’est converti au christianisme et ses huit enfants sont des chrétiens aussi. Son frère David a étudié à Oxford et il est devenu avocat à Londres. Ses deux fils Simon et Adam, et les enfants de Michael font partie de la branche Anglaise de la famille Corcos.''

Why is the Riffians-Berbers being under such brutal savage occupation?

A documented treason, based on the French Protectorate of 1912. To the seating of a horrific dictatorship of French agents, who enslaved the Moroccan population with lies, negligence, and fanaticism of their confreries.

Flagrant-Human rights violation in Morocco.