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Documentaire AdEXT professionnel de janvier 2022 en 14 épisodes (répartis sur 2 saisons en 5 heures au format Full HD), réalisé par des chercheurs indépendants sur la base des travaux publics du site de : Rore Sanctifica (www.rore-sanctifica.org)

Saison n°1 – La destruction de l’épiscopat catholique valide (6 épisodes pour 2 heures)

L'Eglise de Rome n'a plus d'évêques, ni de prêtres valides, 50 ans après Vatican II, suite au rejet du rite catholique de consécration épiscopale en 1968.

Paul VI-Montini, a menti, en prétendant infailliblement, fonder le nouveau rite de consécration épiscopale sur un texte en usage. Ce texte n’a pas d’existence historique démontrée. Le documentaire produit l’enregistrement de l’interview inédit et exceptionnel du Dr Jean Magne (1910-2009), qui, en 1975, réfuta la thèse de Dom Botte, caution pseudo-scientifique du nouveau rite. Il met en scène tout le contexte de la subversion de l’Eglise depuis 1917 dans ce domaine, dans son contexte religieux et politique, influencé par la City of London. Le général des Jésuites Ledochowsky et les Jésuites y ont joué un rôle clé, quoique dissimulé derrière des acteurs ultérieurs plus connus (le Lazariste « Mgr » Bugnini, le Bénédictin Dom Botte, le Père spiritain Lécuyer). Il met en image la démonstration magistrale du Dr Jean Magne et expose le ralliement des universitaires contemporains à ses travaux.

Saison n°2 – La tentative depuis 17 ans (2005) de continuer à préserver la prétendue « validité sacramentelle » de la nouvelle consécration épiscopale imposée le 18 juin 1968 par Montini-PaulVI à l’Eglise Catholique de rite romain en avançant le faux argumentaire des conjurés du Consilium liturgique de Vatican II, obstinément assumé depuis 2005 par la Revue le Sel de la Terre des Dominicains d’Avrillé (8 épisodes pour 3 heures)

La justification erronée du nouveau rite par les dominicains d’Avrillé fait l’objet des 7 premiers épisodes de la Saison 2. Le documentaire illustre visuellement tous les failles et erreurs de leur prétendue « démonstration » de 2005 (Sel de la terre n°54). Il montre la totale reprise des arguments fallacieux de la commission réformatrice de 1967 du Consilium liturgique de Vatican II et l’opposition claire sur le sujet au Magistère de l’Eglise énoncé avec les marques de l’infaillibilité pontificale par le Pape Pie XII dans la consécration épiscopale (1947) et dans le code de Droit canon oriental (1957). Après avoir réfuté une à une les fausses affirmations de cet article, il présente les conséquences dramatiques pour l’Eglise de l’adoption en 1968 de ce rite invalide.

L’important épisode 8 (1 heure) de la Saison 2 montre comment cet argumentaire erroné conduit aujourd’hui la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X (FSSPX) à intégrer dans ses rangs un pseudo-évêque invalide, « Mgr » Vitus Huonder, en présentant aux fidèles dans ses cérémonies publiques ce simple laïc comme un véritable évêque catholique validement sacré, mettant ainsi en péril prochain les sacrements valides distribués aux fidèles et la transmission valide du Sacerdoce sacrificiel catholique dans l’institution fondée par Mgr Lefebvre à cet effet. La figure de l’étrange Richard Nelson Williamson y est également évoquée dans cet épisode ; le leurre qu’il représente pour l’abbé Carlo Maria Vigano y est mis en lumière.

Après avoir mentionné la fausse « Christologie de l’esprit » (Spiritus principalis) qui sous-tend le nouveau rite, le documentaire rend hommage aux principaux combattants qui s’opposèrent à ce nouveau rite non-catholique. Enfin, retraçant la chronologie comparée des apparitions mariales depuis 1830, les déclarations formelles du Magistère infaillible des Papes et les actions inspirées du démon pour conduire à l’éradication du Sacerdoce sacrificiel catholique, le documentaire expose comment l’Eglise catholique est éclipsée à travers l’extinction désormais progressive et biologique des lignées épiscopales de rite latin depuis 1969. Pourtant le pape Léon XIII avait bien solennellement averti la Sainte Eglise, confirmant la substance du secret de La Salette révélé par la Très Sainte Vierge Marie à la voyante Mélanie Calvat en 1846, puis par celle-ci aux fidèles en 1879, en rédigeant personnellement et en promulguant en 1890 sa supplique à Saint Michel Archange, en préambule au grand Exorcisme, puis en le faisant éditer en 1898 puis encore en 1903 juste avant sa mort : « Ubi sedes beatissimi Petri et Cathedra veritatis ad lucem gentium constituta est, ibi thronum posuerunt abominationis impietatis suae ; ut percusso Pastore, et gregem disperdere valeant. » (« Là où fut institué le siège du bienheureux Pierre, et la chaire de la Vérité, là ils ont posé le trône de leur abomination dans l’impiété ; en sorte que le pasteur étant frappé, le troupeau puisse être dispersé »). La Rome maîtresse de vérité a parlé, la cause est entendue.