𝐕𝐨𝐢𝐜𝐞𝐬 𝐨𝐟 𝐭𝐡𝐞 𝐓𝐡𝐢𝐫𝐝 𝐑𝐞𝐢𝐜𝐡 卍

Not Yet

Ce que l'on ne vous enseigne pas à l'école, c'est que l'histoire est écrite par les vainqueurs. Ce sont eux qui façonnent les récits, en mettant en avant leurs succès et en omettant souvent les perspectives des perdants. Ces derniers, relégués aux marges de l'histoire, se retrouvent le cul dans les ruines de leur défaite, leurs voix étouffées par la narration dominante. Ainsi va le monde : seuls les esprits éclairés comprennent les subtilités laissées dans l'ombre. Intelligenti Pauca

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Fuhrer Adolf Hitler Adressen der Reichstag, treffen in der Kroll Oper in Berlin. Halle ist geschmückt mit großen Eagle an der Rückseite der Bühne und Nazi Hakenkreuze an den Seitenwänden. Hermann Göring, Joseph Goebbels, und Martin Bormann, gesehen werden. Hitler gibt einen leidenschaftlichen Rede mit viel Gestik.

Compagnons de Parti et Compagnons de route ! Mes Camarades ! ... Lorsque nous sommes entrés dans la vie politique de la Nation, nos noms étaient inconnus. La plus grande partie d'entre nous - moi en tête - n'appartenait même pas à un parti. La plupart d'entre nous avaient été soldats et étaient revenus de la Grande Guerre avec la rage ou le désespoir dans le cœur. ... Commença alors une période de souffrance et de misère, et par conséquent de désespoir, au sein de notre peuple. Il y avait bien des gens à l'époque qui n'avaient plus du tout envie de vivre. Le nombre de suicides a augmenté jusqu'à plus de 20.000 par an. Pour la plupart, la vie ne semblait plus être souhaitable car elle n'offrait aucune perspective de retrouver un jour l'égalité des droits et donc de recouvrer la liberté du peuple allemand. ... C'est à cette époque que notre combat a commencé. Ce fut un magnifique combat, parce que ce fut un combat qui a été mené contre toutes attentes. Lorsque je me suis produit pour la première fois dans cette ville et que nombre d'entre vous, qui êtes ici aujourd'hui, ont commencé à me suivre, j'ai été abandonné même par mes meilleurs amis. On ne pouvait même pas comprendre comment un homme qui, par ailleurs, était censé, voulait tout à coup se mettre en tête de combattre seul contre tout un monde de réalités. On se disait : Que veut ce vermisseau de malheur ? Il n'a tout simplement pas d'argent ni de nom ; il n'a même pas un seul journal derrière lui, il n'a pas de parti politique. Il a contre lui tout ce qui existe. Il veut combattre contre tous. Il veut combattre les exploitants, et il veut tout autant combattre les prolétaires. Il veut combattre contre l'actuel Empire démocratique, mais aussi contre ses pays. Il veut combattre contre toutes ses confessions. Il veut combattre contre la société organisée, telle que nous la possédons aujourd'hui, le Capital, mais tout aussi bien contre ses organisations syndicales. Il n'y a absolument rien que cet homme ne veuille pas combattre. Il veut construire un nouvel État, une nouvelle société, et il n'a absolument personne derrière lui. Un fou furieux qui entreprend de sortir seul et de déclarer la guerre à toute une majorité très soudée dans tous les domaines ! Ce n'était pas si simple, ce combat, et pourtant les succès commençaient progressivement à se faire ressentir. C'est contre la méthode du silence radio, contre la méthode de ridiculisation, de dérision, puis contre le flot de mensonges et de calomnies, et enfin contre la terreur, que le jeune mouvement a commencé à s'imposer. Vous en avez tous fait l'expérience. Vous êtes venus me voir en particulier à l'époque. Les uns en 1919, d'autres en 1920 et 21. Et vous avez tous eu à l'époque le sentiment intime que nous allions malgré tout gagner ce combat pour le pouvoir en Allemagne. Cela peut sembler difficile. Ce qui parlait en notre faveur, c'est la raison, c'est l'exactitude de nos principes, c'est la reconnaissance du fait que l'État actuel ne pouvait plus être maintenu, que ce n'était qu'une question de temps avant qu'il ne se brise d'une manière ou d'une autre. Mais c'est aussi le sentiment de la nécessité d'une réévaluation de nombreux concepts. C'était finalement aussi une croyance - je dirais presque - « mystique » dans l'immortalité de notre culture nationale, une culture nationale qui aurait pourtant été détruite si elle avait été maintenue dans cette situation. ... Nous allons rétablir à nouveau une Allemagne d'honneur, de pouvoir, de puissance et de gloire. Nous ne laisserons pas cela nous échapper. L'Allemagne se doit de ressusciter, d'une manière ou d'une autre. Et c'est dans cet esprit que nous avons combattu à l'époque, c'est dans cet esprit qu'ils ont succombé, c'est dans cet esprit que le combat s'est ensuite poursuivi, et c'est dans cet esprit que nous nous tenons aujourd'hui debout face à l'autre monde et que nous imposerons ce pour quoi ils ont succombé. Ils pensent pouvoir détruire cette Allemagne. Ils se trompent ! C'est de ce combat que renaîtra l'Allemagne ! Extraits discours Adolf Hitler. 8 novembre 1940 Munich ... Et pour cela, je ne veux connaître à l'avenir qu'un seul commandement ! Celui qui m'a engagé depuis que je suis devenu un jeune homme pensant ! DEUTSCHLAND ! Extrait discours Adolf Hitler (peut-être en 1934)

La Winterhilfswerk des Deutschen Volkes ( Secours d'hiver du peuple allemand ), communément connu sous sa forme abrégée Winterhilfswerk (WHW), était une campagne annuelle du Parti nazi pour aider à financer des activités de bienfaisance. Son slogan était « Nul affamé ni congelé ».

Adolf Hitler speaks about the importance of wives, mothers and traditional gender roles.

331 458 vues | 24 sept. 2023 Hinweis: Ignorieren Sie den verschwommenen Bereich, er dient dazu, die eingebetteten Untertitel, die falsch waren, zu verdecken, um das Seherlebnis weniger ablenkend zu gestalten. Beachten Sie, dass ich vorhabe, dieses Video später erneut hochzuladen, mit eingebetteten Untertiteln auf Englisch. Am 8. November 1942 hielt Adolf Hitler eine Rede vor führenden Mitgliedern der NSDAP. Diese Rede fand im Löwenbräukeller am Stiglmaierplatz in München während der Hochphase der Schlacht von Stalingrad statt. Dieses Video dient ausschließlich dem Zweck, eine historische Rede zu bewahren, und ich verurteile jegliche Verbindung zum Nationalsozialismus oder Antisemitismus aufs Schärfste. Es ist wichtig, Geschichte zu bewahren, nicht zu löschen, und wir müssen aus ihr lernen. Ich möchte betonen, dass Kommentare, die Antisemitismus oder pro-nationalsozialistische Gesinnungen fördern, aus dem Kommentarbereich dieses Videos ohne Ausnahmen entfernt werden.

138 761 vues | 6 août 2023 Nach dem Desaster von Stalingrad Ende 1942/Anfang 1943, dem Rückzug in Afrika und dem Verlust von Kursk (8. Februar), Rostow am Don (14. Februar) und Charkiw (16. Februar) war die deutsche Öffentlichkeit schockiert und begann zu erkennen, dass sich der Krieg gegen Deutschland wendete. Joseph Goebbels, der NS-Propagandaminister, hielt als Reaktion auf diese Verluste zwei Reden im Sportpalast, einer großen Sporthalle in Berlin. Die erste fand am 30. Januar statt, dem Jahrestag der Machtergreifung, und die zweite, die in diesem Video gezeigt wird, wurde am 18. Februar 1943 gehalten. Darin stellte Goebbels seinem Publikum drei Thesen vor: Wenn die Wehrmacht die Rote Armee nicht aufhalten könnte, würde der Bolschewismus Deutschland und dann Europa überrennen. Nur die deutsche Wehrmacht und ihre Verbündeten haben die notwendige Stärke, um die Rote Armee aufzuhalten. Die Gefahr ist unmittelbar. Es muss schnell und gründlich gehandelt werden, sonst ist es zu spät. Er beschrieb dann die Maßnahmen des "totalen Krieges", die ergriffen wurden und ergriffen werden müssen, einschließlich längerer Arbeitszeiten, der Freistellung von Soldaten für die Front und der verstärkten Nutzung von Frauen in der Kriegsindustrie. Er schloss seine Rede mit seinen berühmten 10 Fragen, die er seinem Publikum stellte, einschließlich seiner berühmten Zeile "Wollt ihr den totalen Krieg?" Diese Rede sollte sich als Goebbels' berühmteste erweisen, vielleicht sogar als die berühmteste Rede aus dem nationalsozialistischen Deutschland, da sie sowohl den Radikalismus zeigt, mit dem Deutschland den Rest des Krieges führen würde, als auch allgemein als Schaufenster dafür gilt, wie nationalsozialistische Propaganda funktioniert. Anders als bei anderen Reden, die üblicherweise von seinem Stab geschrieben und dann nur von ihm bearbeitet wurden, schrieb Goebbels diese Rede komplett allein. Das Publikum war handverlesen, und jeder ihrer Bewegungen wurde geprobt - kein Applaus, Jubel oder sogar Unterbrechungen durch einzelne Mitglieder des Publikums waren zufällig. Die Rede wurde in Zeitungen gedruckt, aber es gibt einige Unterschiede zwischen der gedruckten und der gesendeten Version dieser Rede, siehe den angepinnten Kommentar für Erklärungen. Goebbels sagte später, dass dies das beste Publikum sei, das man in Deutschland finden könne.

581 098 vues 7 oct. 2023 On January 30th, 1940, Adolf Hitler delivered a speech at the Berlin Sportpalast to commemorate the 7th anniversary of Adolf Hitler's appointment as chancellor. In this speech, Adolf Hitler touches on various themes, emphasizing the notion of what he calls a national rebirth and resurrection and portraying the past seven years as a period of "remarkable achievements" for Germany under Nazi leadership. This video includes the full speech, which is about an hour long with English subtitles. This video is dedicated solely to preserve an historical speech, and I vehemently disavow any affiliation with Nazism or anti-Semitism. History is important to preserve, not erase, and we must learn from it. I would like to stress that any comments promoting anti-Semitism or pro-Nazi sentiments will be removed from this videos comment section without exceptions.