On vous injecte une substance chimique pour induire une maladie

3 years ago
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Les mots comptent.

Robert Francis Kennedy Jr, l’avocat canadien Rocco Galati, le Dr David Martin et la scientifique Judy A. Mikovits se sont réunis pour nous alerter contre la manipulation médiatique et étatique autour du faux “vaccin” contre le COV*ID-19!

Dr David MARTIN :
D'emblée, stipulons que ce n'est pas un vaccin.
Nous devons être parfaitement clairs, on utilise le terme de "vaccin" pour faire passer cette chose sous les exceptions de santé publique. Il ne s'agit donc PAS d'un vaccin, mais d'un ARNm encapsulé dans une enveloppe de graisse (excipients) qui est livrée à une cellule ; il s'agit d'un dispositif médical conçu pour stimuler la cellule humaine en l'amenant à devenir un créateur d'agents pathogènes.
Un "vaccin" actuellement est en fait un terme légalement défini en vertu du droit de la santé publique. Il s'agit d'un terme légalement défini selon les normes du CDC et de la FDA.
Et un vaccin doit spécifiquement, à la fois stimuler une immunité chez la personne qui le reçoit, mais aussi perturber la transmission du virus, et ce n'est pas de cela qu'il s'agit, ils ont été très clairs en disant que le brin d'ARNm qui entre dans la cellule n'est pas là pour arrêter la transmission, c'est un "traitement".
Mais, si cela avait été envisagé comme un traitement, il n'aurait pas obtenu l'avis favorable des autorités de santé publique, parce qu'alors les gens auraient dit :
"Et bien, quels sont les autres traitements ?"
L'utilisation du terme "vaccin" est inadmissible à la fois pour sa définition légale mais aussi parce que c'est effectivement un coup de traître pour clore la possibilité d'avoir un débat ouvert et libre.
En utilisant le terme "vaccin", vous le placez dans une situation où vous pourriez être "anti" ou "pro" thérapie ; mais si vous en aviez réellement parlé comme d'une thérapie, (et souvenez-vous, les gens l'oublient, ModeRNA a été créée comme entreprise de chimiothérapie contre le cancer, et non comme un fabricant de vaccins contre le SRAS) - Vous savez, si nous disions que nous allions donner aux gens une chimiothérapie prophylactique contre le cancer qu'ils n'ont pas, on vous rirait au nez, parce que c'est une idée stupide ; et c'est exactement le cas dans lequel nous sommes !
Il s'agit d'un dispositif mécanique sous forme d'un très petit paquet de technologie qui est inséré dans le système humain pour activer la cellule afin qu'elle devienne un site de fabrication d'agents pathogènes.
Et je refuse de stipuler, dans aucune conversation, qu'il s'agisse d'une question de vaccin.
La seule raison pour laquelle ce terme est utilisé, c'est pour pouvoir abuser de l'affaire "Jacobson" de 1905 qui a été déformée depuis qu'elle a été écrite. Et si nous étions honnêtes avec ça, nous le qualifierions réellement de ce qu'il est -je le répète- un dispositif chimique pathogène qui est en fait destiné à déclencher une action de production d'agents pathogènes chimiques dans une cellule.
C'est un dispositif "médical" et non un médicament, car il répond à la définition du CDRH.
Ce n'est pas un système vivant, ce n'est pas un système biologique, c'est une technologie physique ; il se trouve qu'elle a la taille d'un paquet moléculaire.
Nous devons donc être très clairs et nous assurer de ne pas tomber dans leur jeu. Car leur jeu est le suivant :
Si nous en parlons comme d'un vaccin, nous allons entrer dans une conversation sur les vaccins ; mais ce n'est PAS, de leur propre aveu, un vaccin.
Nous ne tomberons donc pas dans le piège de cette définition erronée, tout comme nous ne tomberons pas dans leur définition "chimico-industrielle" de la santé. Car toutes les deux sont fonctionnellement erronées et constituent une violation explicite de la structure juridique qui est exploitée.

Judy A. MIKOVITS :
C'est un agent pathogène synthétique, ils injectent littéralement quelque chose de synthétique - la partie très contagieuse du virus - dans les cellules du corps.
Il est fait pour vous rendre malade.

Dr David MARTIN :
Rappelez-vous que 80% des personnes soi-disant exposées au soi-disant SARS-CoV2 (bon, n'entrons pas là-dedans, mais bon) 80% des personnes qui sont exposées au prétendu virus ne présentent absolument aucun symptôme, on les appelle "porteurs asymptomatiques".
80% des personnes qui se font injecter cette substance subissent un événement clinique indésirable.
On vous injecte une substance chimique pour induire une maladie (elle bien réelle) et non pour induire une réponse immunitaire contre la transmission. En d'autres termes, rien de tout cela ne vous empêchera de transmettre quoi que ce soit.
Il s'agit de vous rendre malade et que vos propres cellules soient la chose qui vous rende malade !

Judy A. MIKOVITS :
Donc, cela va obligatoirement déclencher une réponse auto-immune. Parmi beaucoup d'autres choses.
Cela peut par exemple, directement causer la sclérose en plaques, la maladie de la Lugurie, la maladie d'Alzeimer, car c'est l'expression de cette enveloppe pathogène, cela peut provoquer un cancer accéléré. C'est le résultat de l'expression de ce morceau de virus, ce seul incident, c'est connu depuis des décennies. Ils injectent littéralement la maladie !

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Voir aussi : https://rumble.com/vco224-big-pharma-etes-vous-prts-peut-tre-subir-a-.html
Cette vidéo montre la détresse d'une américaine suite aux effets secondaires effrayants du vaccin à ARNm contre le COVID de la société pharmaceutique ModeRNA.

Lien de la vidéo d'origine datée du lundi 11 janvier 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=L4gLqJcPAHQ&feature=youtu.be

Lien du tweet original daté du samedi 09 janvier 2021 : https://mobile.twitter.com/sallykp/status/1347999985154076674?s=21

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