Espèce Esclave ? La Vérité sur Notre Création

3 days ago
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L’humanité aurait été créée par ingénierie génétique par les Anunnaki, des êtres extraterrestres venus de la planète Nibiru, qui seraient arrivés sur Terre à la recherche d’or pour sauver l’atmosphère de leur monde. Lorsque leur première force de travail, les Igigi, se révolta, les Anunnaki créèrent les humains en fusionnant leur ADN avec celui de l’Homo Erectus, produisant ainsi une espèce hybride conçue pour servir, et non pour une mission spirituelle.

La création de l’humanité fut dirigée par Enki, qui percevait le potentiel humain et œuvra pour son développement. À l’opposé, Enlil considérait les humains comme une menace et imposa de strictes limitations pour maintenir le contrôle. Ce conflit entre Enki et Enlil forma la base d’un système dual qui continue à structurer la civilisation humaine – un système ancré dans la tension entre contrôle et éveil.

Après la création, la diffusion incontrôlée des lignées hybrides et l’émergence des Nephilim poussèrent Enlil à déclencher un déluge mondial afin de réinitialiser l’expérience. Enki, sans violer la loi divine, avertit Ziusudra, garantissant ainsi la survie de la vie sur Terre. Après le déluge, les dieux se retirèrent du pouvoir direct, remplaçant leur présence par la royauté, les temples et les rituels comme instruments de contrôle.

Les institutions religieuses et les systèmes culturels ne furent pas des expressions de vérité divine, mais des mécanismes conçus pour maintenir l’obéissance et supprimer la mémoire de l’origine artificielle de l’humanité. Les rituels, lois et symboles servirent à maintenir une structure psychologique alignée avec les intérêts des créateurs.

Les institutions modernes — gouvernements, religions et idéologies — reflètent encore aujourd’hui ce conflit ancien entre la vision d’Enki fondée sur la connaissance et la liberté, et le modèle d’Enlil basé sur l’ordre et la soumission. L’humanité a hérité non seulement de l’empreinte génétique des dieux, mais aussi de leur guerre idéologique. Ce que l’on appelle liberté est souvent une illusion soigneusement entretenue ; nous sommes toujours enchaînés par les mêmes systèmes de croyance et de contrôle établis dans l’Antiquité.

La vraie libération exige de reconnaître cette histoire cachée et de provoquer un éveil intérieur par la compréhension de notre véritable origine et de notre raison d’être. Le divin n’est pas extérieur. Il réside en nous. Et la liberté commence lorsque l’on voit à travers les structures qui n’ont jamais été conçues pour nous libérer.

Scénario et montage : Lucas Martins Kern

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