CINÉMA, ISRAËL, ÉTATS-UNIS QUI SUPPORTE ENCORE LA PROPAGANDE GPTV INVESTIGATION.

3 days ago
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Les Français désertent massivement les salles obscures. Ce n’est plus un secret : entre les prix exorbitants, les films formatés et la domination hollywoodienne, le cinéma ne fait plus rêver. Ce que pensent vraiment les Français, c’est que le grand écran s’est transformé en produit de luxe pour une élite culturelle subventionnée. Beaucoup refusent désormais de payer 15 euros pour “voir toujours les mêmes têtes raconter la même histoire”.

Dans la rue, la colère gronde : certains parlent de propagande, d’autres d’ennui, d’autres encore d’un art vidé de son sens. Le cinéma français, financé par les impôts, est perçu comme un système verrouillé, entretenu par une caste qui tourne en rond. L’idée que l’argent public serve à produire des films que personne ne veut voir passe de plus en plus mal. Derrière cette lassitude, c’est une révolte symbolique contre la confiscation de la culture par quelques-uns.

Beaucoup dénoncent une américanisation totale des écrans, des héros toujours du même camp, et une morale imposée plutôt qu’une liberté d’expression. D’autres vont plus loin, parlant de “narratif contrôlé”, de “cinéma sous influence”. Face à cette uniformité, les spectateurs préfèrent Netflix, YouTube ou le vidéoprojecteur du salon. Le rituel collectif a disparu, remplacé par une culture à la demande, libre et désacralisée. Le cinéma n’unissait plus : il divise, il agace, il fatigue.

Mickaël Lelièvre dévoile ce que les Français n’osent plus dire sur leur propre cinéma, dans ce micro trottoir explosif sur GPTV Investigation

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