ON A (OSÉ) POSER LA QUESTION QUELLE EST L’INFLUENCE DU CRIF GPTV INVESTIGATION

Alors que le dîner annuel du CRIF réunit chaque année les figures les plus influentes de l’État profond français, une question dérangeante persiste : pourquoi les citoyens ordinaires ignorent-ils ce qui se joue derrière ces portes dorées ? Politiciens, artistes, banquiers, tous paient 900 euros la place – en partie remboursée par l’État via un mécanisme fiscal opaque – pour assister à une cérémonie d’un autre monde, où se scelle l’unité entre pouvoir institutionnel et influence communautaire.

Dans les rues de Paris, pourtant, les réponses tranchent avec l’entre-soi des élites. Entre ignorance abyssale et soumission idéologique, les Parisiens interrogés dévoilent l’ampleur de la fracture entre le haut et le bas de la pyramide. La majorité ne sait même pas ce qu’est le CRIF, tandis que les autres récitent des éléments de langage issus des grands médias. Aucun débat, aucun esprit critique. Juste un vide.

Et pendant que certains apprennent l’hébreu pour mieux démontrer leur loyauté, d’autres ne savent même pas ce que ces symboles représentent. Ce n’est plus un dîner, c’est un rituel. Une démonstration de force sociale, politique, fiscale. Le système se reproduit dans l’ombre, sous le regard passif d’un peuple désinformé ou volontairement écarté.

Mais alors, comment un événement aussi structurant pour les cercles du pouvoir peut-il rester aussi invisible pour les masses ? Pourquoi cette omerta sur les liens entre lobbying communautaire et défiscalisation organisée ? Et surtout, que dit ce silence généralisé sur l’état de la démocratie en France ?

Mike Borowski, sur le terrain pour GPTV Investigation, interroge ce que beaucoup préfèrent ignorer. Et ce qu’il a découvert à République glace le sang : le CRIF est partout… sauf dans les esprits.