LA COLÈRE DES FRANÇAIS EXPLOSE (JOVANOVIC, CAMPAGNOL, ROUGEYRON) GPTV INVESTIGATION

4 months ago
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Le courant souverainiste ne faiblit pas, bien au contraire. À Paris, une dynamique intellectuelle s’impose en marge du système médiatique dominant. Loin des clichés d’un repli identitaire ou d’une marginalité politique, ces penseurs redessinent les contours d’un projet cohérent, structuré et offensif. Ils parlent d’indépendance stratégique, de réarmement culturel, de démondialisation réelle. Leur objectif n’est pas de séduire l’électeur, mais de réveiller la nation.

À l’écart des projecteurs, une contre-société s’organise. Conférences, éditions indépendantes, réseaux d’influence : tout converge vers la réaffirmation de la souveraineté comme pilier de civilisation. Ce mouvement repose sur une cohésion intellectuelle que les partis politiques, embourbés dans leurs rivalités, sont incapables d’incarner. Ici, pas de calcul électoral. Il s’agit de transmettre, de structurer, de durer.

La fracture est claire. Tandis que la scène publique se laisse absorber par les revendications identitaires mondialisées, cette autre France travaille en profondeur. Elle déploie des concepts, restaure le sens des mots, et prépare une reconquête qui ne passera ni par la rue, ni par les urnes, mais par les esprits.

À ce moment précis, deux mondes s’affrontent sans se parler. D’un côté, un vacarme revendicatif saturé de slogans creux et de symboles récupérés par le marché. De l’autre, une réflexion patiente, ancrée, articulée autour d’une exigence de souveraineté. L’Histoire ne retient pas les cris, elle choisit les idées. Et ces idées s’élaborent déjà, discrètement, dans les replis de la cité.

Ce jour-là, au milieu du chaos, Mike Borowski tendait son micro pour GPTV Investigation à Pierre‑Yves Rougeyron, Christian Combaz, Pierre Jovanovic et les autres, pendant que la gay pride défilait à deux rues — et personne n’a vu venir la faille.

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