Nation Provissoire ( Chanson de la Liberté)

Nous avons le pouvoir de créer de l’argent.
Mais ce que nous avons fait, c’est de déléguer ce pouvoir aux banques.
À la Banque de Réserve.

La Banque de Réserve n’a aucune réserve.
Ce n’est pas une banque.
C’est une entreprise frauduleuse qui opère dans le pays.
Elle est la propriété des Rothschild, des Windsor et des Rockefeller,
et ce sont les seuls à profiter de notre utilisation de l’argent liquide.

La manière dont tu devrais payer,
c’est en libérant la dette contre ton obligation.
Ton acte de naissance est une obligation.

Tu as plus de valeur ici
que n’importe quelle amende qu’ils peuvent t’infliger dans un tribunal sous le soleil.
C’est ta valeur.
C’est ta vie.
Et ils te l’ont volée.

À ta naissance, on t’a remis ceci :
un acte de naissance.
Mais en vérité,
il devrait s’appeler un acte de décès.

"Nation Promissoire" (Chanson de la Liberté)

On imprime l'argent, on façonne l’or,
Mais on l’a tout donné aux banques d’alors.
La Banque Centrale – ni cash ni cœur,
Juste une fraude en couronne, un faux Créateur.
Rothschild, Windsor, Rockefeller en rang,
Pendant que le peuple a faim,
ils sabrent le champagne gaiement.
Ton acte de naissance, ce n’est pas une venue,
C’est un titre maudit – ta valeur disparue.

Je ne paierai pas avec leurs billets sanglants,
Un empire bâti sur les rêves mourants.
Je signe mon nom, je l’écris droit,
Une vague de promesse qui balaye l’effroi.
Libère les mensonges, brise la cage,
Nous sommes le peuple promissoire de cet âge.

130 000 dollars ? Une amende fictive.
Envoyée à L’HOMME DE PAILLE – moi, je suis vif.
Tu me vois au tribunal, mais moi je suis libre,
Vivant, debout, aucun décret ne m’ébrèche ni fibre.
Ils ont vendu ton âme à la bourse des vautours,
Six milliards en jeu pour ta retraite un jour.
Tu es de l’argent, ami, pour ces rois vampires,
Ils sucent ton souffle, tes ailes, ton empire.

Chaque fois que tu utilises leur monnaie,
Tu nourris la guerre, tu perds la paix.
Syrie, Libye, douleurs afghanes,
Tout ça pour péages et pétrole infâme.
Ce n’est pas la justice, c’est un marché,
Une combine juridique au sceau bien scellé.
Mais je paie en lumière, en sincérité,
Avec un billet promissoire et mon droit de vérité.

Je ne paierai pas avec leurs billets sanglants,
Un empire bâti sur les rêves mourants.
Je signe mon nom, je l’écris droit,
Une vague de promesse qui balaye l’effroi.
Libère les mensonges, brise la cage,
Nous sommes le peuple promissoire de cet âge.

Apprends à payer, apprends à vivre,
Ils t’ont volé ta naissance – maintenant, faut revivre.
Un billet, un cœur, un nom souverain…
Plus de guerre. Plus de chagrin.
mais un seul nom… souverain.
Plus de guerre…. Plus de chagrin.
mais un seul nom….. souverain.

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