ACCROCHEZ-VOUS “LA MENACE N’EST PAS MACRON, C’EST L’EXTRÊME DROITE !” GPTV INVESTIGATION

A Paris, fin mai, le prétendu « village antifasciste » s’est révélé être un théâtre d’exclusion et de dogmatisme. Sous couvert de lutter contre l’extrême droite, ces militants reproduisent les pires réflexes autoritaires : stigmatisation, rejet de toute dissidence, et refus total du débat. L’antifascisme n’est plus une lutte contre l’oppression, mais un alibi pour imposer une pensée unique. Toute voix qui questionne est systématiquement expulsée au nom d’un antifascisme devenu caricatural.

La gauche radicale, loin de résister au pouvoir, en est devenue la complice. Macron est épargné, Bruxelles sanctifiée, l’Union européenne défendue bec et ongles. Cette extrême-gauche ne combat plus l’État : elle le légitime. Leur combat s’arrête là où commence la vraie critique du pouvoir. Anticapitalisme de façade, antifascisme de posture, opposition conditionnelle.

Ce n’est plus une idéologie, c’est une croisade. Fanatique, sectaire, dogmatique. Un appareil de censure qui ne tolère rien en dehors de sa ligne. Et dans cette dérive, ils ne défient plus le système : ils en deviennent les gardiens.

Quand la dissidence devient un crime, qui sont les vrais fascistes ?

Un échange décapant avec Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.