David Bouquet : Soyez vrai et habile dans ce maudit planétarium !

David nous a fait le plaisir de me rejoindre à Rouen en ce début du printemps pour une journée d’échanges intense et enrichissante, le lendemain du 1er avril, la seule date à laquelle même les PNJs s’interrogent sur la véracité des news officielles. Je vous présente son nouveau discours intitulé « Soyez vrai et habile dans ce maudit planétarium ! », le 3ème chapitre de sa série « Réinventer le réel »…

David nous explique qu’il faudrait reprendre notre souffle originel, ce rappel de soi pour nous permettre de retrouver la grande mémoire.
Il faut mieux suivre le bon chemin en boitant que celui du mouton d’un pas ferme. C’est une grande joie de lutter contre tout ce qui est pourri et laid, de plus en plus insistant.
On ne peut pas se transformer et rester le même. Le sortilège de ce planétarium nous fait croire le contraire. Toutes ces vies de larmes, ces cris, hurlements et gémissements, cette répulsion à ce malheur et ce stress imposés en boucle, nourrissent et engraissent ce Golem… Le mensonge du « problème réaction solution », avec des problèmes créés par ces tireurs de ficelles pour nous sauver ou sauver la planète, finit par nous massacrer tous. Cette mondialisation de l’IA et ses prophètes de l’occulte, justifie tous les sacrifices, pour écraser la grande vie, tord la réalité pour la rendre conforme au discours de propagande. Réalisons une évasion, une grande évasion, ce souffle nous pousse en avant. Pensez à l’alignement corps physique, subtil et causal, avec un excès de conscience et de lucidité par rapport à cette radicalité artificielle. Dénoncer cette imposture est notre devoir, c’est ce que nous faisons depuis des années, pour le peu d’humains qui peuvent vraiment voir et écouter.

Je vous invite à découvrir ce troisième chapitre de « réinventer le réel », afin de défier le régulateur que nous avons dans notre cerveau pour nous empêcher d’aller plus haut, au-delà de la cage du hamster. Quand il ne restera qu’un dernier élément de nous-mêmes à convaincre, la libération sera définitive, comme un dernier rideau qu’on écarte.