La solution pour sauver l’Afrique : le Patriarcat /Partie 1/

9 months ago

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Chers évêques des différents pays africains,
C’est le temps de l’Avent, le temps de la repentance. Nous devons préparer le chemin du Seigneur, le chemin vers le réveil spirituel. Votre premier devoir en tant qu’évêque est de protéger la doctrine orthodoxe et les commandements de Dieu. C’est aussi la tâche principale du successeur de Pierre. Mais quelle est la réalité, aujourd’hui ? Celui qui occupe la chaire papale n’est pas un pape légitime. En raison de ses hérésies manifestes, il s’est excommunié à plusieurs reprises de l’Église catholique et ne peut donc pas en être le chef. Telle est la doctrine catholique, qui a également été exprimée par les Pères de l’Église saint Cyprien, saint Jérôme, saint Augustin, saint Athanase et les docteurs de l’Église – saint François de Sales, saint Alphonse de Liguori et saint Cardinal Robert Bellarmin. De plus, la bulle dogmatique Cum ex apostolatus officio stipule clairement qu’un pape qui a commis une hérésie n’est pas un pape valide. Saint Bellarmin a exprimé cette vérité en ces termes : « Le pape qui est manifestement hérétique cesse par lui-même d’être pape et chef, de la même manière qu’il cesse d’être chrétien et membre du corps de l’Église ».
En publiant la déclaration Fiducia supplicans, Bergoglio annule les commandements de Dieu et l’Évangile du Christ et introduit un anti-évangile sodomite. Bergoglio mène une rébellion contre Dieu et n’est donc pas un pape valide. De plus, il s’est consacré publiquement à Satan au Canada en 2022 au cours d’un rituel païen dirigé par un sorcier. Cet archi-hérétique manifeste ne peut en aucun cas être le représentant visible du Christ sur Terre !
Chers évêques, vous n’avez pas accepté sa Fiducia supplicans, rejetant ainsi son parcours synodal. Mais si vous ne vous séparez pas maintenant de lui en tant que faux pape et ne continuez pas à vous soumettre à lui et à Besungu, vous préparez un suicide spirituel pour vous-mêmes et pour toute l’Afrique. Vous, chers évêques, ensemble et individuellement, avez une immense responsabilité devant Dieu ces jours-ci, non seulement pour votre diocèse, mais aussi pour votre nation.
Qui est Ambongo Besungu ? On peut reconnaître un arbre à ses fruits. Le 29 novembre 2024, Besungu a indiqué son intention de mettre en œuvre le parcours synodal en Afrique. Ce parcours synodal, cependant, est la légalisation de la sodomie, et vous – tous les évêques d’Afrique – avez rejeté cela. Besungu a effectué un geste stratégique ; il s’est aligné sur votre position et a annoncé publiquement que l’Afrique n’accepte pas la Fiducia supplicans, c’est-à-dire n’accepte pas le parcours synodal. Maintenant, moins d’un an plus tard, vous voyez que Besungu vous a trompés. En fait, il promeut ce parcours par diverses intrigues et manipulations.
Citons Besungu : « Pour entrer dans cette nouvelle Église synodale, nous devons tous nous laisser former ».
Cela prouve qu’il existe un programme et une tâche spécifiques que Besungu doit mettre en œuvre en Afrique. Il parle ouvertement d’une nouvelle Église. Cette nouvelle Église synodale, que Bergoglio a établie via le parcours synodal, n’est plus l’Église catholique. Ce qui s’est passé n’est pas un simple schisme, c’est quelque chose de pire. Le 1er novembre 2023, Bergoglio a publié le motu proprio Ad theologiam promovendam, qui introduit le principe du changement de paradigme, c’est-à-dire de l’éradication de la foi et de la morale chrétiennes. Le 18 décembre 2023, il a déjà mis en œuvre ce changement avec la publication de la déclaration Fiducia supplicans qui concerne la légalisation du péché de sodomie et la bénédiction des unions sodomites. Les Africains savent que Dieu, dans Sa Parole, qualifie la sodomie d’abomination (en grec, atimia, Rom 1, 26) et met en garde contre celle-ci par la punition du feu temporel (2Pi 2, 6) et éternel (Jud 7). De plus, l’Écriture témoigne que si les sodomites refusent de se repentir, ils n’entreront pas dans le royaume de Dieu (1Cor 6, 9f).
Par un abus de l’autorité suprême et un abus de la structure ecclésiastique, Bergoglio mène à bien l’autodestruction interne et externe de l’Église. Ambongo Besungu poursuit un objectif similaire pour l’Afrique au sein de cette même fausse structure.
Vous, évêques africains, avez protesté contre la légalisation de la sodomie au synode de l’année dernière. Cette année, Bergoglio et Besungu ont choisi une tactique différente. La légalisation de la sodomie n’est plus en discussion ; elle est présentée comme ayant été approuvée par toute l’Église, bien qu’il s’agisse d’une grande fraude. Le synode d’octobre vient de lancer sa phase de mise en œuvre. Qu’est-ce que cela signifie pour vous ? Si vous ne vous libérez pas de la subordination à Bergoglio, chaque évêque devra faire pression pour la légalisation de la sodomie dans tout son diocèse. Chacun d’entre vous devra alors rendre des comptes lors de sa visite ad limina. Bergoglio vous demandera quelles difficultés vous avez rencontrées dans la mise en œuvre de ce programme synodal anti-christique, et quels résultats vous avez obtenus.
L’activité pernicieuse de Bergoglio et de Besungu vous oblige à aborder de manière adéquate la phase de mise en œuvre du salut. Cela signifie de se séparer de Bergoglio et de Besungu, et d’établir votre propre patriarcat pour l’Afrique.
L’étape salvatrice de la séparation d’avec Bergoglio et de l’apostasie du Vatican n’est pas un schisme. Le schisme n’est même pas possible actuellement, puisque l’Église est en état de sede vacante, c’est-à-dire qu’elle n’a pas de pape. Il n’y a qu’un usurpateur de la papauté, pas un pape légitime. En vous séparant de cet usurpateur, vous resterez en fait dans l’Église catholique et préserverez la doctrine catholique. L’ancien nonce américain, l’archevêque Carlo Maria Viganò, commente ceci comme suit : « Mais que se passe-t-il si, sur la chaire de Pierre – au lieu d’un pape qui défend et gouverne l’Église –, il y a un usurpateur qui la démolit systématiquement… ? L’Église catholique est actuellement occupée par un corps étranger… l’anti-église du faux prophète, et en tant que telle, il n’est pas possible d’être en communion avec elle. Les catholiques appartiennent à l’Église catholique, pas à sa contrefaçon conciliaire et synodale dont Bergoglio est le chef. C’est Bergoglio qui est en état de schisme avec l’Église dont il se prétend Pape, et en tant qu’hérétique et schismatique, il n’a ni ne peut exercer aucun pouvoir, ni exiger aucune obéissance ».
La tragédie est que cet archi-hérétique exige l’obéissance sans compromis. C’est une tragédie encore plus grande que les évêques, les successeurs des apôtres, qui devraient défendre la doctrine orthodoxe, lui obéissent. Ce faisant, ils l’aident à détruire les enseignements du Christ, et donc l’Église catholique. En Afrique, Bergoglio mène ce processus suicidaire à travers Ambongo Besungu – un Judas.
L’archevêque Carlo Maria Viganò continue : « Devant mes frères dans l’épiscopat et tout le corps ecclésial, j’accuse Jorge Mario Bergoglio d’hérésie et de schisme, et je demande qu’il soit jugé comme hérétique et schismatique, et démis de son trône qu’il occupe de façon indigne depuis plus de onze ans. Cela ne contredit en rien l’adage Prima Sedes a nemine judicatur (Le Premier Siège n’est jugé par personne), car il est évident que, puisqu’un hérétique n’est pas en mesure d’assumer la papauté, il n’est pas au-dessus des prélats qui le jugent ».
Un hérétique s’exclut lui-même de l’Église, et l’Église catholique doit respecter ce fait.
Besungu, cependant, soutient de manière suggestive que vous devez vous laisser former synodalement à la fois par lui, un Judas, et par l’archi-hérétique Bergoglio ; en d’autres termes, vous devez changer votre façon de penser et accepter enfin la déclaration Fiducia supplicans.
L’évêque Martin du Malawi répond à cette démagogie : « À tous ceux qui nous conseillent mal de cette façon, notre réponse est que nous ne sommes pas des idiots. Nous n’acceptons pas cette déclaration ».
Chers évêques d’Afrique, vous avez radicalement rejeté la fausse doctrine, comme l’a dit Mgr. Martin : « Pour la première fois dans l’histoire de l’Église, un document publié par le Saint-Siège est rejeté, et ce de façon publique. Mais nous n’avons pas le choix : nous ne pouvons pas permettre qu’une déclaration aussi offensante et apparemment blasphématoire soit mise en œuvre au sein de nos diocèses ». Besungu connaît votre attitude, mais il essaie, avec persistance et de façon insidieuse, de vous placer sous le joug de la damnation afin que vous trahissiez le Christ, que vous commettiez un suicide spirituel et que vous acceptiez le chemin de la damnation temporelle et éternelle.
Besungu a ajouté : « Formons entre nous un esprit synodal, un comportement synodal, une attitude synodale, un langage synodal ».
Le cardinal Müller, participant au synode au Vatican, a déjà expliqué ce que signifient les paroles de Besungu. Qu’est-ce qu’un esprit synodal ? « C’est l’esprit de l’Antéchrist qui parle à travers l’agenda LGBTQ. C’est absolument contre la création ». Vous pouvez voir ici quel genre d’esprit Besungu promeut sous le terme d’esprit synodal.
Qu’est-ce qu’un comportement synodal ? Le cardinal Müller clarifie : « C’est abuser du Saint-Esprit afin d’introduire des doctrines qui sont ouvertement contre la Sainte Écriture », et c’est spécifiquement le cas de la déclaration Fiducia supplicans qui bénit les unions LGBTQ pécheresses.
Vous demandez, qu’est-ce qu’une attitude synodale ? Le cardinal Müller a une fois de plus démasqué ce terme. Il s’agit de « l’Église qui se dirige vers la conformité avec l’Agenda 2030 mondialiste et pro-LGBTQ ». L’Église catholique, sous l’usurpateur de la papauté, est utilisée non seulement pour la destruction spirituelle mais aussi physique de l’humanité.
Qu’est-ce qu’un langage synodal ? Le cardinal Müller a déclaré qu’ils « introduisent une nouvelle herméneutique avec laquelle ils veulent réconcilier la Parole de Dieu avec ces idéologies homosexuelles antichrétiennes ». Cela signifie mentir, mentir et mentir encore sous couvert de termes ambigus et de rhétorique religieuse, comme l’ont démontré Besungu et Bergoglio.
Par conséquent, voyant clairement les objectifs de Besungu dans la manipulation de l’Église africaine, vous, en tant que pasteurs du Christ, devez une fois de plus adopter une position radicale unie afin de préserver la doctrine catholique. Ambongo Besungu, un apôtre doté de l’esprit de Judas, agit à présent comme pseudo-patriarche sur toute l’Afrique. Tout comme vous vous êtes unis contre la déclaration Fiducia supplicans, unissez-vous aussi pour franchir la prochaine étape vitale : à savoir, se séparer de Besungu et du pape invalide Bergoglio et, en même temps, proclamer un patriarcat catholique pour l’Afrique. Cela signifie essentiellement restaurer le patriarcat catholique d’Alexandrie, qui était représenté par saint Athanase. Il a lutté courageusement pour toute l’Église contre l’hérésie de l’arianisme.
Aujourd’hui, le Patriarcat n’a pas besoin d’être basé à Alexandrie. Il peut être basé au Cameroun ou ailleurs. Choisissez comme Patriarche d’Afrique un évêque fidèle, qui aura le même esprit que saint Athanase, qui défendra la véritable foi et qui n’aura pas peur des loups déguisés en brebis, comme Bergoglio et Besungu.
Encouragez les fidèles à prier et ensuite, vous-mêmes, franchissez les deux étapes fondamentales au cours de ce temps de l’Avent : séparez-vous du pseudo-pape Bergoglio et du cardinal « Judas » Besungu, et proclamez un Patriarcat catholique pour l’Afrique. Une fois qu’il y aura un vrai Pape, un véritable représentant du Christ sur Terre, le Patriarcat africain se soumettra à son autorité, celle de Pierre. C’est la solution pour sauver l’Afrique dans la situation de crise actuelle. Et c’est aussi la volonté de Dieu pour chacun d’entre vous, chers évêques, successeurs des apôtres.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Évêques secrétaires

Le 8 décembre 2024

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