DLV37 - Instiller le doute quand on est convaincu que tout va bien…

ANNONCE IMPORTANTE DU 20 MAI 2024 : Je viens de parler avec Pierre Barnérias, le réalisateur du film « Les survivantes ». Il vous remercie très chaleureusement d'avoir répondu à son appel ! Toutes les salles du Kinépolis étaient combles ce dimanche soir… Et le bouche à oreille commence à prendre de l'ampleur. Son film a donc passé le cap le plus délicat de la première semaine en salle.

Mais il faut que ça continue. Un moment délicat sera la séance de ce jeudi 23 mai à 20 heures, au cinéma CGR de Nanterre (pour réserver votre place, cliquez sur ce lien). S'il y a assez de monde ce soir-là à Nanterre (dans la même salle où a eu lieu l'avant-première), c'est tout le réseau des CGR en France qui programmera de manière durable ce film. Et il faut que ce film soit vu pour toutes les raisons que je vous ai présentées :
— protéger la vie de ces femmes qui ont choisi de témoigner à visage découvert et qui, pour cela, sont menacées de mort par les réseaux pédocriminels ;
— protéger nos enfants et/ou nos petits-enfants de ces abus rituels sataniques et ignobles ;
— contribuer à désagréger ces réseaux qui produisent depuis des décennies des individus programmés et contrôlables pour les placer dans les lieux de pouvoir et de décision de nos sociétés (dans les sphères politiques, médiatiques, judiciaires, culturelles et scientifiques).

Nous avons une fenêtre d'opportunité étroite, mais réelle, de faire trembler et de faire basculer le système. Saisissons-la !

Cette nouvelle vidéo fait toujours partie de la série dédiée à l'ingénierie sociale. Ce trente-septième épisode introduit les deux prochains épisodes qui seront consacrés aux opérations sous fausse bannière. Le thème d'aujourd'hui vous invite à réfléchir sur notre responsabilité individuelle face à la montée d'un totalitarisme qui ne se cache même plus.

Claire Séverac que je cite dans cet épisode parlait d'une guerre secrète contre les peuples. Je reprenais ses paroles en disant que, moi-même, je nous sentais en guerre, que je nous sentais menacés. Mes propos ont été publiés en exclusivité sur ma chaîne privée le 9 décembre 2019, à une période où je pressentais l'urgence d'informer ma communauté de quelque chose qui se préparait (mais que j'étais incapable d'identifier clairement). Il n'a pas fallu attendre longtemps pour être fixé sur la nature de ce quelque chose qui se préparait. Vous serez probablement frappés de la pertinence de tels propos à la veille de cette fausse crise COVID. Et frappés aussi qu'en écho à mes propos, quatre mois plus tard, la marionnette de l'Élysée nous répétait à six reprises : « Nous sommes en guerre ».