5 months ago

hérétique manifeste PCB François Bergoglio l'Église François Bergoglio célèbre la liturgie de façon non valable parce qu'un hérétique manifeste Saint Bellarmin

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Saint Bellarmin enseigne : « Car même les mauvais catholiques [c.-à-d. ceux qui ne sont pas hérétiques] sont unis (à l'Église) et en sont (les) membres, spirituellement par la foi, corporellement par la confession de foi et par la participation aux sacrements visibles ; les hérétiques occultes [c.-à-d. secrets] sont unis (à l'Église) et sont (ses) membres bien que seulement par union extérieure ; au contraire, les bons catéchumènes n'appartiennent à l'Église que par une union interne, non par une union externe ; mais les hérétiques manifestes n’appartiennent à l’Eglise en aucune manière (ni interne, ni externe) ».
Il s'ensuit que si des hérétiques manifestes n'appartiennent à l'Église en aucune manière, ni interne ni externe, ils célèbrent la messe de façon non valable.
François Bergoglio est-il un hérétique manifeste ? Oui, il l'est. Il s’est consacré de manière provocatrice à Satan et promeut publiquement l’abrogation des lois de Dieu et l’application des anti-lois de la sodomie.
Est-il donc excommunié de l’Église, tant de manière interne qu’externe ? Oui, il l'est.
Alors, Jorge Bergoglio célèbre-t-il la liturgie de façon valable ? Non. Sa liturgie n'est qu'un pieux spectacle visant à tromper les fidèles. Il n'est plus membre de l'Église et ne peut donc en être le chef, ni célébrer valablement la liturgie ni administrer les sacrements. Cela découle du principe de base selon lequel un hérétique n’est pas un membre de l’Église. Ce n'est pas seulement l'enseignement de saint Bellarmin, mais c'est aussi l'enseignement des Pères de l'Église, qui s'appuient sur l'essence même de l'enseignement du Christ. Ce qui est vrai pour Bergoglio s'applique aussi pleinement à sa secte bergoglienne, qui occupe aujourd'hui l'Église.
Une personne excommuniée ne peut pas être le chef de l’Église et ne peut valablement exercer aucune fonction ecclésiale. Le fait que Bergoglio et sa secte ne respectent pas cela est une autre affaire. Le problème est que leur apostasie publique est respectée par les catholiques qui ont succombé à l’hérésie de la papolâtrie. Ceux qui se sont excommuniés de l'Église ne peuvent célébrer la Sainte Messe de façon valable, et ne peuvent donc pas consacrer. L’Église orthodoxe qualifie une telle situation de situation dans laquelle l’évêque ou le prêtre a été privé de la grâce de Dieu.
Les vrais évêques catholiques sont-ils obligés d’obéir aux ordres de Bergoglio et de se soumettre aux châtiments qui leur sont infligés, comme l’excommunication ou la destitution ? Non, les évêques ne doivent pas se soumettre ou obéir à un hérétique manifeste dédié à Satan. Malheureusement, Mgr. Strickland a commis cette erreur tragique. Si Saint Pierre avait obéi à la hiérarchie de l'époque, qui interdisait aux apôtres de prêcher la Parole de Dieu, l'Église n'existerait pas. L’apôtre Pierre a répondu aux interdictions du grand prêtre en disant : « Nous devons obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes » (Actes 5:29).
Cette attitude de l'apôtre Pierre doit s'appliquer également à Bergoglio et à sa secte, qui occupe la plus haute fonction. Celui qui lui obéit et se soumet à lui, désobéit au Christ et renonce à Lui, de façon consciente ou inconsciente. Et celui qui obéit à un hérétique participe à la malédiction que celui-ci s'est imposée. C'est une absurdité que l'archi-hérétique Bergoglio abroge les lois mêmes de Dieu, mais fasse appel aux lois de l'Église qui lui conviennent. Si les lois de Dieu sont renversées, les lois de l’Église n’ont plus de justification, surtout lorsqu’on en abuse contre l’essence même de l’enseignement du Christ.
Un hérétique célèbre la liturgie de façon non valable. En aucun cas on ne peut parler ici du principe d’Ecclesia supplet. Un prêtre en état de grave péché célèbre la liturgie de façon valable parce qu'il ne s'est pas excommunié de l'Église par hérésie, mais il la célèbre de façon indigne. Si un prêtre ou un évêque est un hérétique manifeste qui s'est excommunié de l'Église, il célèbre la liturgie de façon non valable parce qu'un hérétique n'est pas un membre de l'Église, comme le soulignent saint Bellarmin et les Pères de l'Église.
Pour être clair, il faut savoir que quiconque partage l'unité d'esprit avec l'hérésie bergoglienne, c'est-à-dire quiconque est prêt à légaliser la sodomie et même à bénir ces actes pécheurs, cet évêque ou prêtre est un hérétique manifeste qui s'est excommunié de l’Eglise catholique et ne peut donc plus célébrer la liturgie de façon valable. Il s’agit d’un test décisif pour identifier un hérétique manifeste, un évêque ou un prêtre, dont les fidèles doivent se séparer s’ils ne souhaitent pas participer à son chemin de rébellion contre Dieu – un chemin qui mène à la damnation éternelle.
La papauté abusée change l’enseignement et l’esprit. Au lieu de l’Évangile du Christ, il y a l’anti-évangile de Sodome, au lieu de l’Esprit du Christ, il y a l’esprit de l’Antéchrist. Au lieu du chemin du salut, il y a le chemin synodal qui mène à la damnation.
En abusant de la plus haute autorité, Bergoglio force systématiquement chaque évêque et chaque prêtre à blasphémer Dieu, et à se convertir en soi-disant accueillants LGBTQ. C’est une apostasie publique de l’Église.
Bergoglio insiste fortement pour que les pécheurs impénitents, les sodomites et autres personnes LGBTQ, qui vivent en rébellion ouverte contre Dieu, aient la possibilité de recevoir la Sainte Communion et de commettre des sacrilèges.
« Celui qui mange et boit indignement mange et boit un jugement contre lui-même » (1Cor 11, 29).
Quelle est la signification du sacrifice du Christ au Calvaire et de sa re-présentation dans la liturgie ? Jésus dit : « Ceci est mon sang, qui est versé pour vous en rémission des péchés ». Mais la condition fondamentale pour le pardon des péchés, c’est-à-dire pour que nous participions à ce sacrifice, est la repentance. Cela signifie reconnaître notre péché et le purifier par la puissance du sang du Christ à travers la foi. Mais alors, nous devons lutter contre le péché. Nous devons continuer à appeler cela un péché et ne pas prétendre que nous n’avons aucun péché. En critiquant le Synode d'octobre, le cardinal Müller a également révélé la promotion d'une hérésie manifeste qui prétend qu'il est absurde que le Saint-Esprit soit désormais censé bénir les actes homosexuels ! Le péché lui-même est désormais béni dans les églises au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit !
Et Bergoglio promeut ce piétinement du sacrifice de la croix du Christ et de l’essence de la sainte liturgie. Ce blasphème équivaut à une profanation sataniste lors de soi-disant messes noires ! Malheureusement, de nombreux évêques, prêtres et croyants, sous l'aura de l'hérésie de la papolâtrie, acceptent ce blasphème suprême comme étant une nouvelle révélation du Saint-Esprit, qui aurait été reçue par le « Saint-Père François ». Cette maison de fous constituait l’ordre du jour secret de tout le synode d’octobre.
De plus, Bergoglio s'efforce d'introduire des éléments païens dans la liturgie, et cela vise également à remplacer progressivement l'Esprit du Christ par l'esprit de l'Antéchrist. Nous demandons : à quel stade de cette transformation la liturgie deviendra-t-elle non valable ?
La dégradation de la liturgie devrait aboutir à l’introduction de l’ordination de femmes diacres et prêtresses, et par conséquent évêques. Ce sera déjà une hiérarchie satanique et l’insulte la plus grossière faite à Jésus-Christ et à sa mort salvatrice sur la croix. Une liturgie mélangée à des rites païens d’adoration des démons, avec une soi-disant femme ordonnée vêtue de vêtements sacerdotaux à l’autel au lieu d’un prêtre, ne sera pas valable.
Parce que Jorge Bergoglio est un hérétique manifeste, il est excommunié de l'Église et ne peut donc pas être le chef de cette Église, ni célébrer de façon valable la Sainte Messe. Les évêques, les prêtres et les fidèles ne doivent pas lui obéir, et doivent se séparer de lui en tant qu’hérétique manifeste.