Le Petit Anselme “tase” le monde de la Recherche ?

Qui compte des “mandarins” (”masse négative” vide et creuse médiocre du système (?)) qui tente par tous les moyens de l’étouffer pour l’empêcher de parler et d’exister ?

Vidéo source : QUESTIONS-RÉPONSES. nouvelle édition: Conférence modèle cosmologique JANUS par Jean-Pierre Petit
36 814 7 févr. 2023
Jean-Pierre PETIT
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“Voici une nouvelle édition mise en ligne le 07/02/23, pour la raison suivante : des remarques nous ont été communiquées, que certains gens étaient reconnaissables. Nous avons pris la décision de retirer la vidéo, afin de la retravailler en refloutant ces personnes. Malheureusement dans cette réédition, vos commentaires ont été effacés ; nous en sommes sincèrement désolé. R.Teg

Il nous a fallu du temps pour flouter des plans, remplacer des gros plans d'intervenants par une vue du conférencier, supprimer toute mention de noms ou de laboratoire, d'université. Vous allez pouvoir juger. Ce qui se dégagera de ces deux journées des 13 et 14 janvier est que des activités d'échanges avec des scientifiques, des enseignants des ingénieurs vont devoir entrer dans la clandestinité.
Comment imaginer une seule seconde, par exemple, que des astronomes puissent se manifester à visage découvert, pour parler d'observations liées au modèle des "plugstars". Le retour de bâton serait immédiat, sous forme de perte d'accès à des instruments ou de suppression de frais de mission, équivalant à une "mort professionnelle". Si les scientifiques veulent "penser librement" il faudra qu'il le fassent à couvert. Pas de problème ...
Comment imaginer que des thésards puissent envisager d'échanger avec les proscrits que nous sommes, sous peine de se fermer les accès à des postes dans le monde université-recherche ?
Ce qu'il faudra organiser par la suite ce ne sont pas des conférences, mais des séminaires, de groupes de travail. Auquel cas les intervenants physiquement présents ne seront pas filmés. Leurs identités seront tues. S'ils interviennent par zoom, il n'y aura que leurs voix. Ce qui comptera ce sont les propos, c'est tout.
Aujourd'hui le domaine de la cosmologie et de l'astrophysique théorique, est occupé par des gens qui continuent à produire "du vide scientifique" à plein régime, matière sombre énergie noire, astroparticules en tous genres, tout en se gratifiant de médailles de prix. Ils vous abreuvent de propos creux. Les revues destinées au public reprennent ces non-travaux, émaillés d'images de synthèse et de conditionnels : " pourraient ..; seraient ... expliqueraient ...".
Les idées nouvelles, les réels progrès, il faudra les faire émerger d'activités, de collaborations clandestines dans des domaines où des aspects sortant du cadre scientifique interdisent la liberté "de penser trop loin".
Cette conférence a eu plusieurs retombées intéressantes. Un mathématicien, pour qui la géométrie différentielle n'a pas de secrets, a entrepris de construire la théorie mathématique et géométrique des "bi-géométries". Un membre d'un institut de physique mathématique de New-York, de passage en France, ayant assisté à la conférence, a entamé avec moi un échange par zoom, depuis Paris, avant son départ. Le 10 février ça sera depuis les USA, depuis son institut. Nul n'est prophète en son pays c'est bien connu.
Des ingénieurs, des enseignants, des mathématiciens ont compris que rien n'émergera du cercle fermé des cosmologistes, dont les productions sont simplement sans réels contenus depuis des décennies. De plus, l'idée que ça soit l'Académie des Science qui freine le progrès des idées et travaux en a choqué plus d'un. Il y a de quoi...
J'avais connu Jadis le physicien Jean-Marc Lévy-Leblond. Pendant des mois j'ai vainement tenté d'établir un dialoguer avec lui. En recherchant son adresse mail vous pourrez peut être lui demander pourquoi il refuse tout contact avec moi. Il est vrai qu'il est secrétaire de l'union rationaliste.
Dernière chose : sur arXiv et dans les grandes revues je me heurte à un effet de liste noire. Les revues refusent de soumettre nos articles à leurs referees, qualifiés de "non suitable". Quant à arXiv, après avoir refusé mes preprints, en est allé jusqu'à refuser des "postprints", c'est à dire des papiers déjà publiés dans Modern Physics Letters A, Astrophysics and Space Science. Quelqu'un ayant un compte arXiv en (gr-qc) general relativity and quantum cosmology, accepterait-il d'essayer d'y glisser mes travaux en substituant son nom au mien ?
Même proposition pour de futurs articles. L'essentiel n'est pas que je sois "reconnu" mais que ces idées arrive à pénétrer ces foutus bastions, barricadés, submergés par leur "cosmotrouille".
Puisque des internautes insistent je vais répondre à l'article d'Alessandro Roussel, sur la métrique de Schwarzschild extérieure, mon commentaire : Vouloir construire un objet autour de solutions de l'équation d'Einstein dans le vide c'est nier toute physique Quand une étoile s'effondre elle part d'un ensemble de solutions de Schwarzschild "intérieure" + "extérieure". Quand cette implosion se produit il y a un état, incontournable, où la pression et la vitesse de la lumière au centre de l'étoile deviennent infinies. Question à adresser à Roussel : alors, il se passe quoi ?
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