noir, c'est noir, mais si si, y a encore de l'espoir

Voici l'intervention du député fédéral Hélio Lopes (connu comme Hélio negão) negão (gros nègre) mais ce mot nègre (donc negro en espagnol et portugais) ce n’est pas du tout raciste, même au contraire le mot « negão » au Brésil, il peut être même traduit comme : passion, amoureux, parfois copain ou ami

Bref, lui, c'est un ami de Jair Bolsonaro depuis qu’ils étaient dans l’armée, tous les deux se connaissent depuis longtemps hors le monde de la politique.

Et c’est le premier député à dire clairement (peut-on employer ce mot encore ?) être contre les quotas raciaux, surtout qu’on ne connait toujours pas quels seraient les critères, la bonne race ou palettes de couleur de peau pour désigner qui est digne ou pas à ces types de quotas, que d’ailleurs, parquent les nègres oups les noirs comme de citoyens de deuxième ou même de troisième classe, car il arrivera à l’université pas parce qu’il a été bien dans son bac, mais parce qu’il a plus de mélanine que d’autres ? Qu’il sera admis dans un concours public et devenir un fonctionnaire, pas parce qu’il a été bien dans les épreuves, mais encore à cause de sa race ou ethnie…
Bonjour les futurs nouveaux professionnels, un futur sombre ?

Ce truc de quotas ne sert que pour diviser et ainsi peut-être mieux régner.
Et remettre à bas niveau toutes les sociétés qui préfèrent balayer la merde dessous le tapis qu’investir dans une éducation de qualité sans wokisme et laisser que la méritocratie fasse son boulot