Capitaine Juving-Brunet: "Il faut qu’on arrête tout ce cirque!" Covid 19 Plandemie Coronavirus

1 year ago
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Alexandre Juving-Brunet est chef d’entreprise et capitaine dans la réserve de la gendarmerie nationale.

Estimant qu’aucun des candidats déclarés à l’élection présidentielle n’entendait « établir la vérité » sur la crise sanitaire, « rétablir les libertés fondamentales et sanctuariser la souveraineté des Français », il a décidé de briguer la magistrature suprême.

Alors que la clôture de la période de parrainage est fixée au 4 mars 2022, le capitaine Juving-Brunet dispose d’à peine deux mois pour recueillir les 500 signatures de maires nécessaires pour être candidat.

"Une mission qui peut sembler impossible", reconnaît l’ancien officier de liaison détaché à la Direction de la protection et de la sécurité de la défense (DPSD).

Pour relever le défi, il espère toutefois "mobiliser les élus qui sont dans la peur" et les appelle à donner leur parrainage afin de permettre à des candidats hors système présentant « une démarche solide » de participer à l’élection et d’offrir "une pluralité d’expression" aux Français.

S’il parvient à obtenir ses parrainages, le capitaine Juving-Brunet compte notamment convaincre les abstentionnistes afin de déjouer les pronostics au mois d’avril.

"Tous les sondages sont mensongers et ne reposent que sur des constructions mentales faites sur 20, 25 ou 30% du corps électoral. Si 70% des Français qui ne votent pas se remettent à voter, tous les sondages explosent. On peut avoir de grandes surprises, autant pour M. Macron que pour Mme Pécresse, M. Zemmour et M. Mélenchon. D’autres candidats peuvent renverser la table".

Pour le capitaine Alexandre Juving-Brunet, des candidats très médiatiques comme Valérie Pécresse et Éric Zemmour n’offrent en effet aucune garantie de changement et ne se distinguent pas véritablement de l’actuel chef de l’État.

"Nous connaissons déjà les successeurs potentiels de M. Macron. Mme Pécresse est aux avant-postes et reprend exactement les mêmes éléments de langage qu’Emmanuel Macron, l’outrance en moins. S’il y a un sursaut identitaire, il y a naturellement M. Zemmour qui sanctuarisera les intérêts du système, mais avec un volet un peu plus sécuritaire. Toutes les options sont sur la table pour que le système garde le contrôle de la France et de la destinée politique de son peuple"

"Il faut rendre aux Français leur liberté, établir la vérité et sanctuariser leur souveraineté pour qu’aucun intérêt, quel qu’il soit, en France ou à l’étranger, ne reprenne le contrôle de nos institutions et de notre destinée nationale"

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