Charles Gave : Vous allez en prendre plein les dents. Solvabilité des États, faillite des banques.

Dans cette vidéo, je m’inquiète avec Charles Gave des conséquences qui suivront inévitablement les coûteuses mesures que prennent les autorités face à la pandémie de coronavirus.

Car, si on met de côté la question la plus importante, qui est, évidemment, celle de la crise sanitaire du coronavirus, ce problème de pandémie de COVID 19, qui emportera très malheureusement de trop nombreuses victime, ces mesures _ nécessaires, on ne le dira jamais assez _ prises aujourd’hui le gouvernement devront être financées plus tard.

Et ces gouvernements commencent à prendre des décisions inquiétantes. Par exemple le premier ministre libanais vient de refuser de payer l’échéance d’une obligation d’état. Il a tout simplement fait défaut à l’échéance de un milliard d’obligations “tant que les libanais auront faim”.

On imagine facilement Donald Trump ou Emmanuel Macron déclarer qu’il ne paieront pas tant que l’économie ne sera pas remise en marche ou les peuples sauvés du chômage forcé...

Mais ces défauts de paiements, la société telle qu’on la connaît peut-elle y survivre ?

Parce que si l’AMF, l’autorité des marchés financiers, a interdit de parier sur la baisse des actions sur le court terme, ce qui atténue la baisse des marchés, cette mesure ne va pas suffire à compenser les conséquences d’une économie à l’arrêt.

Et les marchés ne s’y sont pas trompé, les indices qui mesurent la volatilité, c’est-à-dire la violence des mouvements à la baisse ou à la hausse du cours des actions, comme l’indice VIX, sont collés au plafond.

Une fois la crise passée, il faudra vivre selon nos moyens et comment le financer ?

En taxant une fois de plus le secteur privé au risque de ne pas le laisser se relever des conséquences de la crise du coronavirus ?

Ou devra-t-on réformer l’état et s’attaquer enfin à toutes les rentes de situation que nous pouvons constater ?

Les Français vont en prendre “plein les dents” et on va certainement assister à une baisse du niveau de vie général et une baisse encore plus forte sur les revenus des retraités.

Avec Charles Gave, on revient sur les moyens historique de préserver la valeur de son patrimoine en cas de crise.

On parle aussi des conséquences pour ceux qui ne font pas ce travail de se réapproprier leur épargne et font confiance aux états, comme ce général russe à qui il ne restait plus guère que de quoi s’acheter un morceau de pain avec sa retraite de militaire de haut de rang de l’armée russe...

Et bien que l’heure soit grave, Charles Gave nous rappelle que les solutions existent pour mettre à l’abri votre épargne, pour sauver votre capital.

On évoquera l’exemple de ces sociétés internationales ont déjà émis des dettes dans des monnaies non-européenne qui permettront d’éviter les soubresauts qui vont inévitablement suivre la crise.

Mais ce solutions, qui existent, vous devrez les trouver et les mettre en place vous-même. Car si vous vous trouvez dans un dispositif collectif de réglementation de l’épargne, cet outil est certainement réglementé pour vous empêcher de prendre les dispositions qui permettraient de sauver votre capital… Car ces dispositifs visent la protection de leurs intérêts, pas du vôtre !

Alors, ça ne sera pas toujours facile, mais les solutions existent …

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