Qui sera plus pauvre après la crise du COVID ? Le Danemark ouvre la voie.

Alors que la crise du COVID semble se maintenir et même s'empirer selon certains aspects, les gouvernements ont presque unanimement eu recours aux injections de liquidités et au financement par la dette sans forcément anticiper l'après-crise. Il faut bien savoir que peu importe comment on fera disparaître la dette liée au COVID, elle devra un moment ou un autre être évacuée du système.

Alors que certains proposent de la supprimer tout simplement, d'autres s'interrogent sur la possibilité de créer de nouvelles taxes orientées en défaveur des plus riches et des banques.
Le Danemark se pose notamment cette question afin de financer les retraites de leur pays.
L'idée mérite d'être traitée car bien qu'elle soit discutable sur certains points, il ne faut pas oublier que l'argent ne tombe pas du ciel, n'en déplaise à la FED et la BCE - d'une part, et que d'autre part, établir un nouvel impôt collecté auprès de la classe moyenne risquerait d'ébranler le pays et même l'Europe, dont la taxation est déjà record, et surtout en ce contexte de crise inédite liée au COVID-19.

Richard Détente vous livre aujourd'hui une nouvelle analyse qui vous permettra de comprendre qui sera plus pauvre après la crise, et pourquoi.

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