Les “doubles A” aux commandes en France ?
Vidéo source : Dette française : "Nous sommes soumis à l'UE, elle-même soumise aux Américains !"
11 684 vues 4 déc. 2023
Tocsin
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La France en faillite ?
Avec Olivier Delamarche, analyste économique, co-fondateur de la lettre économique "Les Incorruptibles” ;
Et Philippe Béchade, président du think tank Les Econoclastes
“PIB ; inflation ; crise ; sortir de crise ; gouvernement ; dette ; situation économique de la France ; finances ; taux d'intérêts ; note AA ; agences de notations ; notation standard and poor's; récession ; croissance
Faillite des élites ; politiques.”
https://www.youtube.com/watch?v=zSjrw4L3xwo
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Bits ou Qubits ?
Vidéo source : Michio Kaku : "L'Ordinateur Quantique vient de s'éteindre après avoir révélé ceci."
2 963 vues 8 déc. 2023 #quantique #documentaire #agora
Agora
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“Bienvenue sur Agora !
Avez-vous déjà envisagé les possibilités résultant de l'union entre l'intelligence artificielle et les ordinateurs quantiques ? C'est à la fois une source d'excitation et d’inquiétude. Les ordinateurs quantiques, incroyablement puissants, résolvent des problèmes complexes bien plus
vite que les ordinateurs classiques. Cependant, Le célèbre physicien Michio Kaku a récemment évoqué les risques que ces technologies révolutionnaires pourraient engendrer pour l'humanité. Mais avant d'aborder ces inquiétudes, plongeons au cœur même des ordinateurs quantiques et de l'intelligence artificielle, pour comprendre comment ils sont en train de révolutionner divers domaines. N’oubliez pas que vous avez toujours la possibilité de consulter toutes nos sources en barre de description. Ceci étant dit c’est parti Qu’est-ce qu’un ordinateur quantique ?
Michio Kaku - Voici pourquoi les ordinateurs quantiques vont tout
changer
Dans un monde où la technologie progresse à une vitesse fulgurante, l'informatique quantique et l'intelligence artificielle sont les pionniers d'une nouvelle ère. Les ordinateurs quantiques, avec leur capacité à traiter des calculs complexes à des vitesses impensables auparavant, et l'intelligence artificielle, avec sa capacité d'apprentissage et d'évolution, transforment notre monde. Alors que l'intelligence artificielle est principalement un domaine de logiciel, les ordinateurs quantiques sont bien plus que cela. Ils représentent une avancée majeure dans le domaine du matériel informatique, offrant une puissance de calcul et une capacité de traitement sans précédent. En exploitant les particularités de la physique quantique, ces ordinateurs peuvent repousser les limites des ordinateurs classiques les plus avancés. Les implications sont vastes, allant du déchiffrement des secrets les mieux gardés des nations à des avancées significatives dans les domaines tels que l’automobile, l’aviation et même l’agroalimentaire.
Regardez jusqu’à la fin pour découvrir de quoi il s’agit.
Michio Kaku, qui est-ce ? Michio Kaku et l'informatique quantique, Les ordinateurs quantiques, Le principe de fonctionnement de ces ordinateurs, Michio Kaku mise sur les ordinateurs quantiques,..
Michio Kaku - Les Ordinateurs QUANTIQUES vont TOUT changer (Documentaire)
Bon visionnage !
TRES IMPORTANT : Cette vidéo a pour but de vous informer, les sources de toutes ces informations sont citées ci dessous.
Sources des informations du Documentaire :
1) https://lejournal.cnrs.fr/articles/ordinateur-les-promesses-de-laube-quantique
2) https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/ordinateur-quantique-cinq-questions-pour-enfin-tout-comprendre-1323707
3) https://www.inria.fr/fr/comment-fonctionne-un-ordinateur-quantique
4) https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/mecanique-quantique-nouveaux-qubits-prometteurs-ordinateurs-quantiques-96423/
5) https://www.wolframalpha.com/input?input=quantum+gates+and+measurements
6) https://stackoverflow.com/questions/36262270/how-does-measurement-gate-work
7) https://learning.quantum.ibm.com/tutorial/explore-gates-and-circuits-with-the-quantum-composer
8) https://korii.slate.fr/tech/technologie-ordinateur-quantique-est-il-voue-echec-qubit-decoherence-correction-erreurs-google-ibm
9) https://photographies17.com/lequation-de-paul-dirac/”
https://www.youtube.com/watch?v=U98ZMaj-k6c
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Alors, qui sont, au final, les “ceux qui ne sont rien” ?
Et ceux qui réussissent ? Et donc les ânes et vrais cancres ?
Car cette autre femme sait aussi (pratiquement) tout faire et est complètement autonome. Comme il y en a beaucoup d'autres dans le monde y compris en France.
Fin de cette trilogie par des exemples factuels pris sur le tas et sur la toile et hors de la télé poubelle enfumeuse.
Cette dernière vidéo montre qui sont les vrais crétins qui traitent les autres de rien.
Pour ne pas voir ces crétins polluer votre cerveau au quotidien il vous suffit de ne plus allumer vos télés et regarder ailleurs. Mieux, reprendre votre vie en main et ne plus vous laisser faire ni manipuler. Redevenez maître de vos choix et de vos vies à titre individuel. Prenez exemple sur le colibris et faites votre part de job sans chercher à sauver le monde. Faites juste votre part de petits riens au quotidien et réaiguisez votre bon sens et votre esprit critique afin de favoriser votre libre arbitre. Apprenez à reconnaître les bonimenteurs, les charlatans, les politicards, les Eurogagas, les Mondialistes qui vous affirment vouloir votre bien dans tous les domaines, et échapper à leurs griffes. Vous devez réapprendre à savoir ce qui est bien pour vous et pour les autres. Les choses à penser et à ne pas penser. Les choses à faire et à ne pas faire. Qui devez-vous écouter ? Et une fois ce tri fait, la dernière personne que vous devrez écouter, c’est vous et vous seul ! Car il faut considérer que nous sommes collectivement responsable de tout ce qui se passe dans le monde. C’est tout et ce sera déjà pas mal. Occupez-vous l’esprit par la lecture, par exemple. Lire ce n’est pas avaler un dictionnaire ni nécessairement un gros livre. D’ailleurs, comment avaler un éléphant ? Réponse : bouchée par bouchée. C’est lire une phrase mais au quotidien. Puis, un paragraphe mais au quotidien. Puis, un chapitre mais au quotidien. Et une fois que vous aurez atteint votre rythme de croisière ne changez plus rien. Le mieux est l’ennemi du bien. Le roman les Misérables de Victor Hugo est l’exemple parfait de l’éléphant. Vous pouvez en venir à bout “bouchée par bouchée” au quotidien.
D’ailleurs, j’ai relevé ceci dans ce roman les Misérables de Victor Hugo qui pourrait servir à n’importe qui :
Les Misérables de Victor Hugo, Tome IV - L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis, Chapitre I –Origine – Page 1117 à 1118 de l’édition Pocket, un département d’Univers Poche, 2013 - ISBN : 978-2-266-23603-4. .
Chapitre I –Origine
«Obscurité dans l’atmosphère, obscurité dans les actes, obscurité dans les voix. Épouvantable langue crapaude qui va, vient, sautèle, rampe, bave, et se meut monstrueusement dans cette immense brume grise faite de pluie, de nuit, de faim, de vice, de mensonge, d’injustice, de nudité, d’asphyxie et d’hiver, plein midi des misérables.
Ayons compassion des châtiés. Hélas! qui sommes-nous nous-mêmes? qui suis-je, moi qui vous parle? qui êtes-vous, vous qui m’écoutez? d’où venons-nous? et est-il bien sûr que nous n’ayons rien fait avant d’être nés? La terre n’est point sans ressemblance avec une geôle. Qui sait si l’homme n’est pas un repris de justice divine?
Regardez la vie de près. Elle est ainsi faite qu’on y sent partout de la punition.
Êtes-vous ce qu’on appelle un heureux? Eh bien, vous êtes triste tous les jours. Chaque jour a son grand chagrin ou son petit souci. Hier, vous trembliez pour une santé qui vous est chère, aujourd’hui vous craignez pour la vôtre, demain ce sera une inquiétude d’argent, après-demain la diatribe d’un calomniateur, l’autre après-demain le malheur d’un ami; puis le temps qu’il fait, puis quelque chose de cassé ou de perdu, puis un plaisir que la conscience et la colonne vertébrale vous reprochent; une autre fois, la marche des affaires publiques. Sans compter les peines de cœur. Et ainsi de suite. Un nuage se dissipe, un autre se reforme. À peine un jour sur cent de pleine joie et de plein soleil. Et vous êtes de ce petit nombre qui a le bonheur! Quant aux autres hommes, la nuit stagnante est sur eux.
Les esprits réfléchis usent peu de cette locution: les heureux et les malheureux. Dans ce monde, vestibule d’un autre évidemment, il n’y a pas d’heureux.
La vraie division humaine est celle-ci: les lumineux et les ténébreux.
Diminuer le nombre des ténébreux, augmenter le nombre des lumineux, voilà le but. C’est pourquoi nous crions: enseignement! science! Apprendre à lire, c’est allumer du feu; toute syllabe épelée étincelle.
Du reste qui dit lumière ne dit pas nécessairement joie. On souffre dans la lumière; l’excès brûle. La flamme est ennemie de l’aile. Brûler sans cesser de voler, c’est là le prodige du génie.
Quand vous connaîtrez et quand vous aimerez, vous souffrirez encore. Le jour naît en larmes. Les lumineux pleurent, ne fût-ce que sur les ténébreux.
L’argot, est la langue des ténébreux.»
Vidéo source : FULL VIDEO: 150 Days Harvest Fruit, Chili, Sapodilla, Peanut go market sell | Cooking, Gardening
2 062 796 vues Sortie le 9 juin 2023 HOA KỲ
Trieu Mai Huong
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https://www.youtube.com/watch?v=bNRsSCKjWuI
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Qu’est-ce que cette femme ne sait pas faire avec talent et dextérité ?
Quand elle n’a pas de crétins pour l’emmerder ni de journaleux pour lui retourner le cerveau ? Vu qu’elle ne regarde pas la télé pour l’enfumer ? Vu qu’elle n’a probablement pas de télé non plus ? Vu que ce dicton : “L’oisiveté est mère de tous les vices” ne peut pas lui être appliqué ?
Vidéo source : Harvesting Red Jackfruit - Make Jackfruit Sticky Rice Goes to the market sell - Alma Daily Life
1 715 232 vues Sortie le 16 sept. 2023 HOA KỲ
Alma Daily Life
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"My name is Alma, I'm a rural girl. My main job is to raise livestock, grow crops, raise fish... then harvest and sell for money to maintain my life.
I make this channel to record my daily work. Looking forward to your support.
Wishing you peace and happiness.
Thank you.
Traduction en français : Je m'appelle Alma, je suis une fille de la campagne. Mon travail principal est d'élever du bétail, de faire pousser des cultures, d'élever des poissons... puis je récolte et vends pour de l'argent afin de subvenir à mes besoins. Je crée cette chaîne pour enregistrer mon travail quotidien. Dans l'attente de votre soutien. Je vous souhaite paix et bonheur. Merci."
https://www.youtube.com/watch?v=obAroIszGU8
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La Police est révélatrice de l'état général d'un pays ?
Vidéo source : COMMENT L'ÉTAT A CORROMPU LA POLICE : UN ANCIEN FLIC BALANCE ! (avec Jean-Pierre Colombiès) [PCAT #S03E03]
123 409 vues Sortie le 4 déc. 2023
J'suis pas content TV
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▇ SOMMAIRE :
00:00:00 - Dans cet épisode
00:01:08 - Présentation de l'invité
00:03:13 - De la police au théâtre
00:05:30 - La police est-elle bien représentée au cinéma ?
00:08:37 - Alcool, suicide & dépression dans la police
00:10:30 - Le virage de 1995, ou la militarisation de l'institution
00:12:00 - Les politiciens détruisent l'institution policière dans leur intérêt
00:17:51 - Pourquoi la délinquance est-elle en augmentation ?
00:21:41 - La faute a Napoléon
00:24:22 - Pour Macron, la priorité est le maintient de l'ordre
00:25:30 - La politique du chiffre (et de la baisse d'effectifs)
00:30:28 - L' effondrement de la formation
00:32:33 - L'explosion des démissions
00:34:16 - Macron s'en fout totalement
00:35:20 - Comment Sarkozy a corrompu l'institution
00:36:30 - Quand l'Etat invente des infractions
00:38:42 - Pression de la hiérarchie et du politique
00:40:18 - La police : toujours une grande famille ?
00:42:06 - Les affaires qui t'ont le plus marqué / l'affaire Marc Machin
00:44:04 - 26 décembre 1994 : prise d’otages de Marignane
00:47:23 - Le développement du sentiment d'impunité
00:51:00 - L'évolution des crimes & délits
00:51:45 - L'hypermédiatisation de la criminalité
00:54:49 - Le Livre de Jean-Pierre Colombiès
00:55:25 - Quartiers sensibles : laxisme ou harcèlement policier ?
00:57:43 - Comment l'Etat a acheté la paix sociale
00:58:44 - Stupéfiants : impuissance d'Etat
01:03:00 - La BRAV M
01:08:07 - Les Black Blocs font le jeu du pouvoir
01:11:36 - Le mensonge est la nature même de la propagande
01:12:17 - L' IGPN : c'est une blague ou pas ?
01:15:07 - Vidéosurveillance ou vidéoprotection ?
01:17:00 - On la laisse bosser la police ?
01:18:20 - La réélection de Macron
01:19:57 - Dupont-Moretti, pourquoi tant de haine ?
01:23:32 - L'Etat veut-il réellement lutter contre les stupéfiants ?
01:33:36 - Comment on blanchit de l'argent ? / Les sociétés écrans
01:36:40 - Conclusion
https://www.youtube.com/watch?v=Su_O_qXvKU8
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Il y a des crétins qui ne sont rien alors qu’ils s’imaginent être des...
... cadors et les maîtres du monde ?
Et il y a des riens (sans diplômes ?) qui démontrent qu’ils sont talentueux, ingénieux et de vrais chefs ?
Pourquoi un tiers ou la moitié (?) de la population française ne mange plus à sa faim aujourd’hui ? Chacun pourra constater factuellement dans cette vidéo ce qu’il en est vraiment de la pénurie alimentaire mondiale (en laissant de côté les autres domaines comme la santé, le climat (surtout de la peur ?), la sécurité, l’énergie, etc. qui ne sont pas les sujets traités ici) que les européistes et les mondialistes qui sont à la manoeuvre et qu’ils organisent et veulent imposer dans les esprits des gens de l’Union Européenne et des pays occidentaux - où ils règnent en maître ? - grâce essentiellement à la complicité des “merdias de grand chemin” qui sont à leurs ordres ?
Et le cas de ce petit pays SOUVERAIN qu’est le Cambodge n’est pas un cas isolé ni à part. C’est la même chose quasiment dans les autres pays frontaliers qui sont tous SOUVERAINS à la différence de la France qui a perdu sa souveraineté en la transférant à l’Union Européenne et en “se diluant” dans cette Europe-là que les “Eurogagas” leur ont vendu comme le nec plus ultra en terme de progreès civilisationnel !?! Par internet, chacun pourra aller regarder, fouiner et vérifier dans d’autres pays et sous d’autres latitudes ce qu’il s’y passe et de ce qu’il en est vraiment ? Regardez l’expression des visages de ces “pauvres” gens qui ne baignent pas dans le luxe ni la richesse mais où la peur et l’anxiété ne s’affichent pas du tout ! Ils n’ont peut-être pas des crétins psychopathes surdiplômés à la tête de leur pays dont le seul leitmotiv est de les emmerder et de détruire leur pays dans lequel ils vivent ?
Il faut se débarrasser de la peur et de ceux qui l’organisent dans le seul but de réduire la populace à l’état d’esclavage afin "qu’ils" continuent de pouvoir jouir de tout sans contrainte et régner en maîtres juste en maîtrisant l’outil audiovisuel à leur portée et disposition que sont la radio et la télévision dont la masse enfumée semble être toujours “accro” aujourd’hui malgré les réseaux sociaux ? Raison pour laquelle il faut “Brisez vos télés !” ?
https://www.youtube.com/watch?v=NxRM1Snhu6M
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Des ânes pour mener des lions ou des crétins pour emmerder des “rien” ?
Ou bien toujours les deux "en même temps" ?
Source vidéo : La vérité vous rendra libre : explications avec Charles Gave !
11 018 5 déc. 2023 #SudRadio #LE_FACE_A_FACE
Sud Radio
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Avec Charles Gave, président de l'Institut des Libertés, économiste et auteur de "La vérité vous rendra libre : L'histoire des quarante années revue et corrigée par Charles Gave" publié aux éditions Idées en liberté.
https://www.youtube.com/watch?v=_eVteuMXyAA
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Quand le pays est voué “aux vents” et qu’il faut tenter d’en “survivre” ?
On comprend (mieux) pourquoi avec de tels “acteurs” la France n’a, effectivement, pas de culture ?
Vidéo source : Napoléon massacré, Moretti acquitté & Macron le Gamer ! [J'SUIS PAS CONTENT ! #399]
96 641 vues 2 déc. 2023
J'suis pas content TV
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https://www.youtube.com/watch?v=b0vMyymWlGU
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"Brisez vos télés !" ?
Vidéo Source : Pourquoi les « amis » de l’Ukraine auront été ses pires ennemis… | Idriss Aberkane
187 046 vues Sortie le 2 déc. 2023 #brics #idrissaberkane #Ukraine
Idriss J. Aberkane
956 k abonnés
« Être l’ennemi des États-Unis est dangereux… mais être leur ami est fatal ! » Henri Kissinger, qui vient de nous quitter à 100 ans, n’aurait pu mieux décrire la politique étrangère de l’Oncle Sam depuis la Guerre Froide. Or de même que quand Nabilla s’est mise à vendre du bitcoin en 2017 il ne fallait surtout pas en acheter, quand le génie transcendent George W Bush s’est mis à comparer Zelensky à Winston Churchill (!) le moment était venu d’arrêter cette guerre à tout prix!
Oui les « amis » de l’Ukraine lui auront fait croire qu’une confrontation géopolitique avec la Russie tournerait à son avantage, oui ils ont exploité ce pays, ses ressources, sa jeunesse désormais massacrée, et maintenant que leur deuil est fait du délire de faire sauter Moscou ils abandonnent l’Ukraine en rase-campagne… comme n’importe quel connaisseur de Kissinger aurait pu l’anticiper
https://www.youtube.com/watch?v=kEEKi6WwhpA
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Pour susciter la culture aux enfants “et en même temps” aux surdiplômés incultes ?
Vidéo source : Les Misérables BD en français facile | A1 | Livre audio pour apprendre le français
86 868 vues 10 juil. 2021 French
Marina's Language Corner
4,17 k abonnés
Learn French with Les Misérables. French Audiobook with Easy French Stories for Beginners. Graded Reading in French.
Learn French by listening and reading easy stories in French. Listen and read to easy stories to practice your listening comprehension and extend your vocabulary.
Level A1
Do you want to become able to speak French fluently? If so, try reading aloud along with the video and audio! If you repeatedly practice, the phrases and vocabulary you have remembered will begin coming out of your mouth naturally.
https://www.youtube.com/watch?v=_AX4jcZGLek&list=PL9h2YUduqOV943c5czOwHW5ag8ZW0WbSV&index=12&t=17s
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“Demolition Man” ?
Vidéo source : "Macron est un destructeur de la nation française !" - Jean-Loup Izambert
28 827 vues 29 nov. 2023 #LigneDroite #alstom #politique
Ligne Droite • La matinale de Radio Courtoisie
230 k abonnés
https://www.youtube.com/watch?v=KiqVPc0iIAk
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La France n’a pas de culture ?
Elle n’a que des misérables incultes et/ou fainéants ou les deux “en même temps” - de la racaille d’en haut comme de la racaille d’en bas - qu’elle ne cesse d’instruire, de reconditionner et de refaçonner invariablement de tout temps et “au siècle des siècles” ?
Extrait de la vidéo source : Les Misérables - tome 4 by Victor HUGO read by Various Part 1/2 | Full Audio Book
6 097 vues 11 déc. 2018
LibriVox Audiobooks
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Les Misérables - tome 4 by Victor HUGO (1802 - 1885)
Genre(s): General Fiction, Historical Fiction
Read by: Saab, Thomas, Naf, Herman Roskams, Nathalie Mussard, Mankalas, Vince, Kalynda, Gilles G. Le Blanc, Nadine Eckert-Boulet in French
Dans le quatrième volet des Misérables, L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis, l'action se déroule sur fond d'émeute à la barricade Saint-Denis. Éponine et Gavroche, les enfants de la rue, y tiennent un rôle important, tandis que la relation amoureuse de Cosette et Marius se développe, au grand dam de Jean Valjean. (résumé par Nadine)
https://www.youtube.com/watch?v=nUuWoDvQtHI&t=10044s
Pour la version lecture en ligne ou écouter et lire tout “en même temps” c’est ce lien qu’il suffira de copier et coller sur Internet : https://www.atramenta.net/lire/les-miserables-tome-iv--lidylle-rue-plumet-et-lepopee-rue-saint-denis/12336/24#oeuvre_page
Chapitre II – La mère Plutarque n’est pas embarrassée pour expliquer un phénomène
Un soir le petit Gavroche n’avait point mangé ; il se souvint qu’il n’avait pas non plus dîné la veille ; cela devenait fatigant. Il prit la résolution d’essayer de souper. Il s’en alla rôder au delà de la Salpêtrière, dans les lieux déserts ; c’est là que sont les aubaines ; où il n’y a personne, on trouve quelque chose. Il parvint jusqu’à une peuplade qui lui parut être le village d’Austerlitz.
Dans une de ses précédentes flâneries, il avait remarqué là un vieux jardin hanté d’un vieux homme et d’une vieille femme, et dans ce jardin un pommier passable. À côté de ce pommier, il y avait une espèce de fruitier mal clos où l’on pouvait conquérir une pomme. Une pomme, c’est un souper ; une pomme, c’est la vie. Ce qui a perdu Adam pouvait sauver Gavroche. Le jardin côtoyait une ruelle solitaire non pavée et bordée de broussailles en attendant les maisons ; une haie l’en séparait.
Gavroche se dirigea vers le jardin ; il retrouva la ruelle, il reconnut le pommier, il constata le fruitier, il examina la haie ; une haie, c’est une enjambée. Le jour déclinait, pas un chat dans la ruelle, l’heure était bonne. Gavroche ébaucha l’escalade, puis s’arrêta tout à coup. On parlait dans le jardin. Gavroche regarda par une des claires-voies de la haie.
À deux pas de lui, au pied de la haie et de l’autre côté, précisément au point où l’eût fait déboucher la trouée qu’il méditait, il y avait une pierre couchée qui faisait une espèce de banc, et sur ce banc était assis le vieux homme du jardin, ayant devant lui la vieille femme debout. La vieille bougonnait. Gavroche, peu discret, écouta.
— Monsieur Mabeuf ! disait la vieille.
— Mabeuf ! pensa Gavroche, ce nom est farce.
Le vieillard interpellé ne bougeait point.
La vieille répéta :
— Monsieur Mabeuf !
Le vieillard, sans quitter la terre des yeux, se décida à répondre :
— Quoi, mère Plutarque ?
— Mère Plutarque ! pensa Gavroche, autre nom farce.
La mère Plutarque reprit, et force fut au vieillard d’accepter la conversation.
— Le propriétaire n’est pas content.
— Pourquoi ?
— On lui doit trois termes.
— Dans trois mois on lui en devra quatre.
— Il dit qu’il vous enverra coucher dehors.
— J’irai.
— La fruitière veut qu’on la paye. Elle ne lâche plus ses falourdes. Avec quoi vous chaufferez-vous cet hiver ? Nous n’aurons point de bois.
— Il y a le soleil.
— Le boucher refuse crédit, il ne veut plus donner de viande.
— Cela se trouve bien. Je digère mal la viande. C’est trop lourd.
— Qu’est-ce qu’on aura pour dîner ?
— Du pain.
— Le boulanger exige un acompte, et dit que pas d’argent, pas de pain.
— C’est bon.
— Qu’est-ce que vous mangerez ?
— Nous avons les pommes du pommier.
— Mais, monsieur, on ne peut pourtant pas vivre comme ça sans argent.
— Je n’en ai pas.
La vieille s’en alla, le vieillard resta seul.
Il se mit à songer. Gavroche songeait de son côté. Il faisait presque nuit.
Le premier résultat de la songerie de Gavroche, ce fut qu’au lieu d’escalader la haie, il s’accroupit dessous. Les branches s’écartaient un peu au bas de la broussaille.
— Tiens, s’écria intérieurement Gavroche, une alcôve ! et il s’y blottit. Il était presque adossé au banc du père Mabeuf. Il entendait l’octogénaire respirer.
Alors, pour dîner, il tâcha de dormir.
Sommeil de chat, sommeil d’un œil. Tout en s’assoupissant, Gavroche guettait.
La blancheur du ciel crépusculaire blanchissait la terre, et la ruelle faisait une ligne livide entre deux rangées de buissons obscurs.
Tout à coup, sur cette bande blanchâtre deux silhouettes parurent. L’une venait devant, l’autre, à quelque distance, derrière.
— Voilà deux êtres, grommela Gavroche.
La première silhouette semblait quelque vieux bourgeois courbé et pensif, vêtu plus que simplement, marchant lentement à cause de l’âge, et flânant le soir aux étoiles.
La seconde était droite, ferme, mince. Elle réglait son pas sur le pas de la première ; mais dans la lenteur volontaire de l’allure, on sentait de la souplesse et de l’agilité. Cette silhouette avait, avec on ne sait quoi de farouche et d’inquiétant, toute la tournure de ce qu’on appelait alors un élégant ; le chapeau était d’une bonne forme, la redingote était noire, bien coupée, probablement de beau drap, et serrée à la taille. La tête se dressait avec une sorte de grâce robuste, et, sous le chapeau, on entrevoyait dans le crépuscule un pâle profil d’adolescent.
Ce profil avait une rose à la bouche. Cette seconde silhouette était bien connue de Gavroche c’était Montparnasse.
Quant à l’autre, il n’en eût rien pu dire, sinon que c’était un vieux bonhomme.
Gavroche entra sur-le-champ en observation.
L’un de ces deux passants avait évidemment des projets sur l’autre. Gavroche était bien situé pour voir la suite. L’alcôve était fort à propos devenue cachette.
Montparnasse à la chasse, à une pareille heure, en un pareil lieu, cela était menaçant. Gavroche sentait ses entrailles de gamin s’émouvoir de pitié pour le vieux.
Que faire ? intervenir ? une faiblesse en secourant une autre ! C’était de quoi rire pour Montparnasse. Gavroche ne se dissimulait pas que, pour ce redoutable bandit de dix-huit ans, le vieillard d’abord, l’enfant ensuite, c’étaient deux bouchées.
Pendant que Gavroche délibérait, l’attaque eut lieu, brusque et hideuse. Attaque de tigre à l’onagre, attaque d’araignée à la mouche. Montparnasse, à l’improviste, jeta la rose, bondit sur le vieillard, le colleta, l’empoigna et s’y cramponna, et Gavroche eut de la peine à retenir un cri. Un moment après, l’un de ces hommes était sous l’autre, accablé, râlant, se débattant, avec un genou de marbre sur la poitrine. Seulement ce n’était pas tout à fait ce à quoi Gavroche s’était attendu. Celui qui était à terre, c’était Montparnasse ; celui qui était dessus, c’était le bonhomme.
Tout ceci se passait à quelques pas de Gavroche.
Le vieillard avait reçu le choc, et l’avait rendu, et rendu si terriblement qu’en un clin d’œil l’assaillant et l’assailli avaient changé de rôle.
— Voilà un fier invalide ! pensa Gavroche.
Et il ne put s’empêcher de battre des mains.
Mais ce fut un battement de mains perdu. Il n’arriva pas jusqu’aux deux combattants, absorbés et assourdis l’un par l’autre et mêlant leurs souffles dans la lutte.
Le silence se fit. Montparnasse cessa de se débattre. Gavroche eut cet aparté : Est-ce qu’il est mort ?
Le bonhomme n’avait pas prononcé un mot ni jeté un cri. Il se redressa, et Gavroche l’entendit qui disait à Montparnasse :
— Relève-toi.
Montparnasse se releva, mais le bonhomme le tenait. Montparnasse avait l’attitude humiliée et furieuse d’un loup qui serait happé par un mouton.
Gavroche regardait et écoutait, faisant effort pour doubler ses yeux par ses oreilles. Il s’amusait énormément.
Il fut récompensé de sa consciencieuse anxiété de spectateur. Il put saisir au vol ce dialogue qui empruntait à l’obscurité on ne sait quel accent tragique. Le bonhomme questionnait. Montparnasse répondait.
— Quel âge as-tu ?
— Dix-neuf ans.
— Tu es fort et bien portant. Pourquoi ne travailles-tu, pas ?
— Ça m’ennuie.
— Quel est ton état ?
— Fainéant.
— Parle sérieusement. Peut-on faire quelque chose pour toi ? Qu’est-ce que tu veux être ?
— Voleur.
Il y eut un silence. Le vieillard semblait profondément pensif. Il était immobile et ne lâchait point Montparnasse.
De moment en moment, le jeune bandit, vigoureux et leste, avait des soubresauts de bête prise au piège.
Il donnait une secousse, essayait un croc-en-jambe, tordait éperdument ses membres, tâchait de s’échapper. Le vieillard n’avait pas l’air de s’en apercevoir, et lui tenait les deux bras d’une seule main avec l’indifférence souveraine d’une force absolue.
La rêverie du vieillard dura quelque temps, puis, regardant fixement Montparnasse, il éleva doucement la voix, et lui adressa, dans cette ombre où ils étaient, une sorte d’allocution solennelle dont Gavroche ne perdit pas une syllabe :
— Mon enfant tu entres par paresse dans la plus laborieuse des existences. Ah ! tu te déclares fainéant ! prépare-toi à travailler. As-tu vu une machine qui est redoutable ? cela s’appelle le laminoir. Il faut y prendre garde, c’est une chose sournoise et féroce ; si elle vous attrape le pan de votre habit, vous y passez tout entier. Cette machine, c’est l’oisiveté… Arrête-toi, pendant qu’il en est temps encore, et sauve-toi ! Autrement, c’est fini ; avant peu tu seras dans l’engrenage. Une fois pris, n’espère plus rien. À la fatigue, paresseux ! plus de repos. La main de fer du travail implacable t’a saisi. Gagner ta vie, avoir une tâche, accomplir un devoir, tu ne veux pas ! être comme les autres, cela t’ennuie ! Eh bien, tu seras autrement. Le travail est la loi ; qui le repousse ennui, l’aura supplice. Tu ne veux pas être ouvrier, tu seras esclave. Le travail ne vous lâche d’un côté que pour vous reprendre de l’autre ; tu ne veux pas être son ami, tu seras son nègre. Ah ! tu n’as pas voulu de la lassitude honnête des hommes, tu vas avoir la sueur des damnés. Où les autres chantent, tu râleras. Tu verras de loin, d’en bas, les autres hommes travailler ; il te semblera qu’ils se reposent.
Le laboureur, le moissonneur, le matelot, le forgeron, t’apparaîtront dans la lumière comme les bienheureux d’un paradis. Quel rayonnement dans l’enclume ! Mener la charrue, lier la gerbe, c’est de la joie. La barque en liberté dans le vent, quelle fête ! Toi, paresseux, pioche, traîne, roule, marche ! Tire ton licou, te voilà bête de somme dans l’attelage de l’enfer ! Ah ! ne rien faire, c’était là ton but. Eh bien ! pas une semaine, pas une journée, pas une heure sans accablement. Tu ne pourras rien soulever qu’avec angoisse. Toutes les minutes qui passeront feront craquer tes muscles. Ce qui sera plume pour les autres sera pour toi rocher. Les choses les plus simple s’escarperont. La vie se fera monstre autour de toi. Aller, venir, respirer, autant de travaux terribles. Ton poumon te fera l’effet d’un poids de cent livres. Marcher ici plutôt que là, ce sera un problème à résoudre. Le premier venu qui veut sortir pousse sa porte, c’est fait, le voilà dehors. Toi, si tu veux sortir, il te faudra percer ton mur. Pour aller dans la rue, qu’est-ce que tout le monde fait ? Tout le monde descend l’escalier ; toi, tu déchireras tes draps de lit, tu en feras brin à brin une corde, puis tu passeras par ta fenêtre, et tu te suspendras à ce fil sur un abîme, et ce sera la nuit, dans l’orage, dans la pluie, dans l’ouragan, et, si la corde est trop courte, tu n’auras plus qu’une manière de descendre, tomber. Tomber au hasard, dans le gouffre, d’une hauteur quelconque sur, quoi ? Sur ce qui est en bas, sur l’inconnu. Ou tu grimperas par un tuyau de cheminée, au risque de t’y brûler ; ou tu ramperas par un conduit de latrines, au risque de t’y noyer. Je ne te parle pas des trous qu’il faut masquer, des pierres qu’il faut ôter et remettre vingt fois par jour, des plâtras qu’il faut cacher dans sa paillasse.
Une serrure se présente ; le bourgeois a dans sa poche sa clef fabriquée par un serrurier. Toi, si tu veux passer outre tu es condamné à faire un chef-d’œuvre effrayant, tu prendras un gros sou, tu le couperas en deux lames avec quels outils ? tu les inventeras. Cela te regarde. Puis tu creuseras l’intérieur de ces deux lames, en ménageant soigneusement le dehors, et tu pratiqueras sur le bord tout autour un pas de vis, de façon qu’elles s’ajustent étroitement l’une sur l’autre comme un fond et comme un couvercle. Le dessous et le dessus ainsi vissés, on n’y devinera rien. Pour les surveillants, car tu seras guetté, ce sera un gros sou ; pour toi, ce sera une boîte. Que mettras-tu dans cette boîte ? Un petit morceau d’acier. Un ressort de montre auquel tu auras fait des dents et qui sera une scie. Avec cette scie, longue comme une épingle et cachée dans un sou, tu devras couper le pêne de la serrure, la mèche du verrou, l’anse du cadenas, et le barreau que tu auras à ta fenêtre, et la manille que tu auras à ta jambe. Ce chef-d’œuvre fait ce prodige accompli, tous ces miracles d’art, d’adresse, d’habileté, de patience, exécutés, si l’on vient à savoir que tu en es l’auteur, quelle sera ta récompense ? le cachot. Voilà l’avenir. La paresse, le plaisir, quels précipices ! Ne rien faire, c’est un lugubre parti pris, sais-tu bien ? Vivre oisif de la substance sociale ! être inutile, c’est-à-dire nuisible ! cela mène droit au fond de la misère. Malheur à qui veut être parasite ! il sera vermine. Ah ! il ne te plaît pas de travailler ? Ah ! tu n’as qu’une pensée, bien boire, bien manger, bien dormir. Tu boiras de l’eau, tu mangeras du pain noir, tu dormiras sur une planche avec une ferraille rivée à tes membres et dont tu sentiras la nuit le froid sur ta chair ? Tu briseras cette ferraille, tu t’enfuiras.
C’est bon. Tu te traîneras sur le ventre dans les broussailles et tu mangeras de l’herbe comme les brutes des bois. Et tu seras repris. Et alors tu passeras des années dans une basse-fosse, scellé à une muraille, tâtonnant pour boire à ta cruche, mordant dans un affreux pain de ténèbres dont les chiens ne voudraient pas, mangeant des fèves que les vers auront mangées avant toi. Tu seras cloporte dans une cave. Ah ! aie pitié de toi-même, misérable enfant, tout jeune, qui tétais ta nourrice il n’y a pas vingt ans, et qui as sans doute encore ta mère ! je t’en conjure, écoute-moi. Tu veux de fin drap noir, des escarpins vernis, te friser, te mettre dans tes boucles de l’huile qui sent bon, plaire aux créatures, être joli. Tu seras tondu ras avec une casaque rouge et des sabots. Tu veux une bague au doigt, tu auras un carcan au cou. Et si tu regardes une femme, un coup de bâton. Et tu entreras là à vingt ans, et tu en sortiras à cinquante ! Tu entreras jeune, rose, frais, avec tes yeux brillants et toutes tes dents blanches, et ta chevelure d’adolescent, tu sortiras cassé, courbé, ridé, édenté, horrible, en cheveux blancs ! Ah ! mon pauvre enfant, tu fais fausse route, la fainéantise te conseille mal ; le plus rude des travaux, c’est le vol. Crois-moi, n’entreprends pas cette pénible besogne d’être un paresseux. Devenir un coquin, ce n’est pas commode. Il est moins malaisé d’être honnête homme. Va maintenant, et pense à ce que je t’ai dit. À propos, que voulais-tu de moi ? Ma bourse. La voici.
Et le vieillard, lâchant Montparnasse, lui mit dans la main sa bourse, que Montparnasse soupesa un moment ; après quoi, avec la même précaution machinale que s’il l’eût volée, Montparnasse la laissa glisser doucement dans la poche de derrière de sa redingote.
Tout cela dit et fait, le bonhomme tourna le dos et reprit tranquillement sa promenade.
— Ganache ! murmura Montparnasse.
Qui était ce bonhomme ? le lecteur l’a sans doute deviné.
Montparnasse, stupéfait, le regarda disparaître dans le crépuscule. Cette contemplation lui fut fatale.
Tandis que le vieillard s’éloignait, Gavroche s’approchait.
Gavroche, d’un coup d’œil de côté, s’était assuré que le père Mabeuf, endormi peut-être, était toujours assis sur le banc. Puis le gamin était sorti de sa broussaille, et s’était mis à ramper dans l’ombre en arrière de Montparnasse immobile. Il parvint ainsi jusqu’à Montparnasse sans en être vu ni entendu, insinua doucement sa main dans la poche de derrière de la redingote de fin drap noir, saisit la bourse, retira sa main, et, se remettant à ramper, fit une évasion de couleuvre dans les ténèbres. Montparnasse, qui n’avait aucune raison d’être sur ses gardes et qui songeait pour la première fois de sa vie, ne s’aperçut de rien. Gavroche, quand il fut revenu au point où était le père Mabeuf, jeta la bourse par-dessus la haie, et s’enfuit à toutes jambes.
La bourse tomba sur le pied du père Mabeuf. Cette commotion le réveilla. Il se pencha, et ramassa la bourse. Il n’y comprit rien, et l’ouvrit. C’était une bourse à deux compartiments ; dans l’un, il y avait quelque monnaie ; dans l’autre, il y avait six napoléons.
M. Mabeuf, fort effaré, porta la chose à sa gouvernante.
— Cela tombe du ciel, dit la mère Plutarque.
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La France n’a pas de culture, elle n’a que des crétins qu’elle diplôme, élit et décore ?
Extrait de la vidéo source : Les Misérables - tome 4 by Victor HUGO read by Various Part 1/2 | Full Audio Book
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Les Misérables - tome 4 by Victor HUGO (1802 - 1885)
Genre(s): General Fiction, Historical Fiction
Read by: Saab, Thomas, Naf, Herman Roskams, Nathalie Mussard, Mankalas, Vince, Kalynda, Gilles G. Le Blanc, Nadine Eckert-Boulet in French
Chapters:
00:00:00 - 01 - 1 - 1 - Bien coup
00:14:43 - 02 - 1 - 2 - Bien cousu
00:23:19 - 03 - 1 - 3 - Louis-Philippe
00:42:58 - 04 - 1 - 4 - Lzardes sous la fondation
01:01:49 - 05 - 1 - 5 - Faits d'o l'histoire sort et que l'histoire ignore
01:27:26 - 06 - 1 - 6 - Enjolras et ses lieutenants
01:36:28 - 07 - 2 - 1 - Le Champ de l'Alouette
01:53:36 - 08 - 2 - 2 - Formation embryonnaire des crimes dans l'incubation des prisons
02:06:44 - 09 - 2 - 3 - Apparition au pre Mabeuf
02:18:01 - 10 - 2 - 4 - Apparition Marius
02:30:48 - 11 - 3 - 1 - La maison secret
02:41:13 - 12 - 3 - 2 - Jean Valjean garde national
02:47:24 - 13 - 3 - 3 - Foliis ac frondibus
02:56:57 - 14 - 3 - 4 - Changement de grille
03:08:17 - 15 - 3 - 5 - La rose s'aperçoit qu'elle est une machine de guerre
03:18:06 - 16 - 3 - 6 - La bataille commence
03:26:26 - 17 - 3 - 7 - tristesse, tristesse et demie
03:38:45 - 18 - 3 - 8 - La cadne
04:01:47 - 19 - 4 - 1 -Blessure au dehors, gurison au dedans
04:06:58 - 20 - 4 - 2 - La mre Plutarque n'est pas embarrasse pour expliquer un phnomne
04:24:02 - 21 - 5 - 1 - La solitude et la caserne combines
04:28:49 - 22 - 5 - 2 - Peurs de Cosette
04:36:04 - 23 - 5 - 3 - Enrichies des commentaires de Toussaint
04:42:11 - 24 - 5 - 4 - Un cœur sous une pierre
04:50:13 - 25 - 5 - 5 - Cosette aprs la lettre
04:57:42 - 26 - 5 - 6 - Les vieux sont faits pour sortir propos
05:07:05 - 27 - 6 - 1 - Mchante espiglerie du vent
05:16:36 - 28 - 6 - 2 - O le petit Gavroche tire parti de Napolon le Grand
06:02:30 - 29 - 6 - 3 - Les pripties de l'vasion
06:33:09 - 30 - 7 - 1 - Origine
06:53:16 - 31 - 7 - 2 - Racines
Dans le quatrième volet des Misérables, L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis, l'action se déroule sur fond d'émeute à la barricade Saint-Denis. Éponine et Gavroche, les enfants de la rue, y tiennent un rôle important, tandis que la relation amoureuse de Cosette et Marius se développe, au grand dam de Jean Valjean. (résumé par Nadine)
https://www.youtube.com/watch?v=nUuWoDvQtHI&t=10044s
Pour la version lecture en ligne ou écouter et lire tout “en même temps” c’est ce lien qu’il suffira de copier et coller sur Internet : “https://www.atramenta.net/lire/les-miserables-tome-iv--lidylle-rue-plumet-et-lepopee-rue-saint-denis/12336/18#oeuvre_page” et la magie opérera !
Sinon, voici la retranscription : Les misérables Tome IV - L'idylle rue Plumet et l'épopée...
Chapitre V – La rose s’aperçoit qu’elle est une machine de guerre
Un jour Cosette se regarda par hasard dans son miroir et se dit : Tiens ! Il lui semblait presque qu’elle était jolie. Ceci la jeta dans un trouble singulier. Jusqu’à ce moment elle n’avait point songé à sa figure. Elle se voyait dans son miroir, mais elle ne s’y regardait pas. Et puis, on lui avait souvent dit qu’elle était laide ; Jean Valjean seul disait doucement : Mais non ! mais non ! Quoi qu’il en fût, Cosette s’était toujours crue laide, et avait grandi dans cette idée avec la résignation facile de l’enfance. Voici que tout d’un coup son miroir lui disait comme Jean Valjean : Mais non ! Elle ne dormit pas de la nuit. — Si j’étais jolie ? pensait-elle, comme cela serait drôle que je fusse jolie ! — Et elle se rappelait celles de ses compagnes dont la beauté faisait effet dans le couvent, et elle se disait : Comment ! je serais comme mademoiselle une telle !
Le lendemain elle se regarda, mais non par hasard, et elle douta : — Où avais-je l’esprit ? dit-elle, non, je suis laide. — Elle avait tout simplement mal dormi, elle avait les yeux battus et elle était pâle. Elle ne s’était pas sentie très joyeuse la veille de croire à sa beauté, mais elle fut triste de n’y plus croire. Elle ne se regarda plus, et pendant plus de quinze jours elle tâcha de se coiffer tournant le dos au miroir.
Le soir, après le dîner, elle faisait assez habituellement de la tapisserie dans le salon, ou quelque ouvrage de couvent, et Jean Valjean lisait à côté d’elle. Une fois elle leva les yeux de son ouvrage et elle fut toute surprise de la façon inquiète dont son père la regardait.
Une autre fois, elle passait dans la rue, et il lui sembla que quelqu’un qu’elle ne vit pas disait derrière elle : Jolie femme ! mais mal mise.
— Bah ! pensa-t-elle, ce n’est pas moi. Je suis bien mise et laide. — Elle avait alors son chapeau de peluche et sa robe de mérinos.
Un jour enfin, elle était dans le jardin, et elle entendit la pauvre vieille Toussaint qui disait : Monsieur, remarquez-vous comme mademoiselle devient jolie ? Cosette n’entendit pas ce que son père répondit, les paroles de Toussaint furent pour elle une sorte de commotion. Elle s’échappa du jardin, monta à sa chambre, courut à la glace, il y avait trois mois qu’elle ne s’était regardée, et poussa un cri. Elle venait de s’éblouir elle-même.
Elle était belle et jolie ; elle ne pouvait s’empêcher d’être de l’avis de Toussaint et de son miroir. Sa taille s’était faite, sa peau avait blanchi, ses cheveux s’étaient lustrés, une splendeur inconnue s’était allumée dans ses prunelles bleues. La conscience de sa beauté lui vint tout entière, en une minute, comme un grand jour qui se fait ; les autres la remarquaient d’ailleurs, Toussaint le disait, c’était d’elle évidemment que le passant avait parlé, il n’y avait plus à douter ; elle redescendit au jardin, se croyant reine, entendant les oiseaux chanter, c’était en hiver, voyant le ciel doré, le soleil dans les arbres, des fleurs dans les buissons, éperdue, folle, dans un ravissement inexprimable.
De son côté, Jean Valjean éprouvait un profond et indéfinissable serrement de cœur.
C’est qu’en effet, depuis quelque temps, il contemplait avec terreur cette beauté qui apparaissait chaque jour plus rayonnante sur le doux visage de Cosette. Aube riante pour tous, lugubre pour lui.
Cosette avait été belle assez longtemps avant de s’en apercevoir.
Mais, du premier jour, cette lumière inattendue qui se levait lentement et enveloppait par degrés toute la personne de la jeune fille blessa la paupière sombre de Jean Valjean. Il sentit que c’était un changement dans une vie heureuse, si heureuse qu’il n’osait y remuer dans la crainte d’y déranger quelque chose. Cet homme qui avait passé par toutes les détresses, qui était encore tout saignant des meurtrissures de sa destinée, qui avait été presque méchant et qui était devenu presque saint, qui, après avoir traîné la chaîne du bagne, traînait maintenant la chaîne invisible, mais pesante, de l’infamie indéfinie, cet homme que la loi n’avait pas lâché et qui pouvait être à chaque instant ressaisi et ramené de l’obscurité de sa vertu au grand jour de l’opprobre public, cet homme acceptait tout, excusait tout, pardonnait tout, bénissait tout, voulait bien tout, et ne demandait à la providence, aux hommes, aux lois, à la société, à la nature, au monde, qu’une chose, que Cosette l’aimât !
Que Cosette continuât de l’aimer ! que Dieu n’empêchât pas le cœur de cette enfant de venir à lui, et de rester à lui ! Aimé de Cosette, il se trouvait guéri, reposé, apaisé, comblé, récompensé, couronné. Aimé de Cosette, il était bien ! il n’en demandait pas davantage. On lui eût dit : Veux-tu être mieux ? il eût répondu : Non. Dieu lui eût dit : Veux-tu le ciel ? il eût répondu : J’y perdrais.
Tout ce qui pouvait effleurer cette situation, ne fût-ce qu’à la surface, le faisait frémir comme le commencement d’autre chose. Il n’avait jamais trop su ce que c’était que la beauté d’une femme ; mais, par instinct, il comprenait que c’était terrible.
Cette beauté qui s’épanouissait de plus en plus triomphante et superbe à côté de lui, sous ses yeux, sur le front ingénu et redoutable de l’enfant, du fond de sa laideur, de sa vieillesse, de sa misère, de sa réprobation, de son accablement, il la regardait effaré.
Il se disait : Comme elle est belle ! Qu’est-ce que je vais devenir, moi ?
Là du reste était la différence entre sa tendresse et la tendresse d’une mère. Ce qu’il voyait avec angoisse, une mère l’eût vu avec joie.
Les premiers symptômes ne tardèrent pas à se manifester.
Dès le lendemain du jour où elle s’était dit : Décidément, je suis belle ! Cosette fit attention à sa toilette. Elle se rappela le mot du passant : — Jolie, mais mal mise, — souffle d’oracle qui avait passé à côté d’elle et s’était évanoui après avoir déposé dans son cœur un des deux germes qui doivent plus tard emplir toute la vie de la femme, la coquetterie. L’amour est l’autre.
Avec la foi en sa beauté, toute l’âme féminine s’épanouit en elle. Elle eut horreur du mérinos et honte de la peluche. Son père ne lui avait jamais rien refusé. Elle sut tout de suite toute la science du chapeau, de la robe, du mantelet, du brodequin, de la manchette, de l’étoffe qui va, de la couleur qui sied, cette science qui fait de la femme parisienne quelque chose de si charmant, de si profond et de si dangereux. Le mot femme capiteuse a été inventé pour la Parisienne.
En moins d’un mois la petite Cosette fut dans cette thébaïde de la rue de Babylone une des femmes, non seulement les plus jolies, ce qui est quelque chose, mais « les mieux mises » de Paris, ce qui est bien davantage. Elle eût voulu rencontrer « son passant » pour voir ce qu’il dirait, et « pour lui apprendre ! » Le fait est qu’elle était ravissante de tout point, et qu’elle distinguait à merveille un chapeau de Gérard d’un chapeau d’Herbaut.
Jean Valjean considérait ces ravages avec anxiété.
Lui qui sentait qu’il ne pourrait jamais que ramper, marcher tout au plus, il voyait des ailes venir à Cosette.
Du reste, rien qu’à la simple inspection de la toilette de Cosette, une femme eût reconnu qu’elle n’avait pas de mère. Certaines petites bienséances, certaines conventions spéciales, n’étaient point observées par Cosette. Une mère, par exemple, lui eût dit qu’une jeune fille ne s’habille point en damas.
Le premier jour que Cosette sortit avec sa robe et son camail de damas noir et son chapeau de crêpe blanc, elle vint prendre le bras de Jean Valjean, gaie, radieuse, rose, fière, éclatante. — Père, dit-elle, comment me trouvez-vous ainsi ? Jean Valjean répondit d’une voix qui ressemblait à la voix amère d’un envieux : — Charmante ! — Il fut dans la promenade comme à l’ordinaire. En rentrant il demanda à Cosette :
— Est-ce que tu ne remettras plus ta robe et ton chapeau, tu sais ?
Ceci se passait dans la chambre de Cosette. Cosette se tourna vers le porte-manteau de la garde-robe où sa défroque de pensionnaire était accrochée.
— Ce déguisement ! dit-elle. Père, que voulez-vous que j’en fasse ? Oh ! par exemple, non, je ne remettrai jamais ces horreurs. Avec ce machin-là sur la tête, j’ai l’air de madame Chien-fou.
Jean Valjean soupira profondément.
À partir de ce moment, il remarqua que Cosette, qui autrefois demandait toujours à rester, disant : Père, je m’amuse mieux ici avec vous, — demandait maintenant toujours à sortir. En effet, à quoi bon avoir une jolie figure et une délicieuse toilette, si on ne les montre pas ?
Il remarqua aussi que Cosette n’avait plus le même goût pour l’arrière-cour.
À présent, elle se tenait plus volontiers au jardin, se promenant sans déplaisir devant la grille. Jean Valjean, farouche, ne mettait pas les pieds dans le jardin. Il restait dans son arrière-cour, comme le chien.
Cosette, à se savoir belle, perdit la grâce de l’ignorer ; grâce exquise, car la beauté rehaussée de naïveté est ineffable, et rien n’est adorable comme une innocente éblouissante qui marche tenant en main, sans le savoir, la clef d’un paradis. Mais ce qu’elle perdit en grâce ingénue, elle le regagna en charme pensif et sérieux. Toute sa personne, pénétrée des joies de la jeunesse, de l’innocence et de la beauté, respirait une mélancolie splendide.
Ce fut à cette époque que Marius, après six mois écoulés, la revit au Luxembourg.
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👉 https://magazine.nexus.fr/n149/ Le magazine Nexus vient de rencontrer Christine Deviers-Joncour. Pour la première fois, elle a accepté la caméra d’un média français à son domicile.
Durant des années, son nom a fait la une des journaux, des radios, de la télévision, sans doute parce qu’elle en savait trop en matière de corruption, des magouilles financières et politiques des « élites ». De l’affaire Roland Dumas et de celle des frégates de Taïwan, elle fut le fusible. On a fini par faire tomber celle qui dénonçait la corruption et qu’un magistrat avait surnommée « la Putain de la République ». En novembre 1997, durant 5 mois, elle a été emprisonnée à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis.
Appuyée par des archives, cette vidéo exceptionnelle d’une heure nous fait entrer dans les arcanes de la corruption, des trahisons et des assassinats…
Christine Deviers-Joncour est interviewée par Armel Joubert des Ouches.
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Non, je n’ai pas changé et je n’ai rien dit de tel ?
À un jour près cette vidéo aura 6 ans. Pourquoi la publier sur Rumble et 6 ans plus tard ? Eh bien, pour les 3 raisons que voici :
La première, c’est pour lui donner une existence sur cette plate-forme et sur mon compte afin de servir éventuellement - à défaut d’étalon - de base de référence vu son ancienneté et sa date de publication coïncidant avec l’avènement de la 1ère élection de Macron - Jupiter dans toute sa splendeur ! - à la Présidence de la République qu’il va vite transformer en “Ripoublique En Marche” sous deux mandats successifs sous sa houlette comme on a pu le constater jusqu’à aujourd’hui.
La seconde, c’est pour mettre en lumière que Florian Philippot n’a pas dévié d’un iota de sa ligne politique du jour où il a quitté le FN (rebaptisé RN depuis) pour créer son mouvement politique Les Patriotes le 29 septembre 2017.
La troisième, c’est de mettre en lumière des commentaires récents d’Internautes relatifs à l’accusation de Monsieur François Asselineau, Président fondateur de l’UPR (Union Populaire Républicaine) portée à l’encontre de Monsieur Florian Philippot, Président de Les Patriotes afin de vérifier si cette accusation était fondée ou non.
Naturellement, ce n’est pas sous cette vidéo-ci sur Rumble que se trouvent ces commentaires. Vous les trouverez sous la vidéo source d’origine publiée sur la plate-forme Youtube dont voici le lien : https://www.youtube.com/watch?v=T-Pz2SlvULc&lc=UgzR-CgO0JTEffIL2LF4AaABAg.9pA8s0C1BeC9xYO-bb6mBL
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Une histoire de bulles ?
À 2:04:00 de cette vidéo : "William James : un penseur colossal !" (Idriss Aberkane).
"William James(né le11 janvier 1842àNew York, mort le26 août 1910à Chocorua dans leNew Hampshire) est unpsychologueetphilosopheaméricain, fils d'Henry James Sr., théologien (médecin durant la guerre de sécession? A vérifier) disciple deSwedenborg, filleul deRalph Waldo Emerson, frère aîné du romancierHenry Jamesainsi que d'Alice James. Il est l'un des fondateurs dupragmatisme. Il est parfois considéré comme une influence de laphilosophie analytique, mais sa réception francophone témoigne également de son impact profond sur la philosophie continentaleexistentialisteetprocessuelle(voir notamment les travaux deJean Wahlet, plus proche de nous, deVinciane Despret,David LapoujadeetIsabelle Stengers, entre autres).
William James est souvent présenté comme le fondateur de lapsychologieen Amérique. Son premier grand livre, publié en 1890, est intituléThe Principles of Psychology(Les principes de psychologie). Ce livre présente une psychologie basée sur l'évolutionnisme et axée sur la réflexion philosophique.
La théorie de la signification constitue le cœur du pragmatisme de James. Pour lui, il est inutile et vain de tenter de se focaliser sur lesdéfinitions[De quoi?]abstraites. Pour comprendre un énoncé, il faut pour lui en étudier les conséquences, les soumettre à l'expérience, pour tester leur vérité, prise au sens d'adéquation à la réalité.James accorde une place importante à la croyance, c'est-à-dire à des hypothèses qu'on va chercher à tester pour vérifier leur vérité. Pour lui, les croyances ont un effet d'entraînement. En conséquence, ce qui intéresse James dans la religion, ce n'est pas la doctrine en elle-même mais les conséquences pratiques de la croyance en cette doctrine[réf.nécessaire].
Un autre point important chez James est la notion de «tempérament». Pour lui, les«tempéraments» doux vont vers l'idéalismetandis que les «tempéraments» forts sont plusmatérialistes, plus tournés vers la nouveauté et le risque. Si James reproche aux matérialistes leur manque despiritualitéet si, pour lui, un pragmatiste est plutôt doté d'un «tempérament» médian, il n'en demeure pas moins que, pour lui, la nouveauté et l'imagination sont importantes. Sa théorie de l'histoire n'est pas celle de lois éternelles de la nature mais qu'elle est faite par les hommes, et notamment par les grands hommes. De même, ce qui est important dans la liberté, pour lui, c'est la possibilité de faire du nouveau, du non nécessaire.
Dans sa conception chrétienne et contingente de l'artisanat, l'homme coopère avec Dieu et ses égaux pour créer un monde en évolution permanente, progressant ainsi conjointement et par tâtonnement vers davantage de richesses et de beauté." (Source Wikipédia dont voici le lien: https://fr.wikipedia.org/wiki/William_James).
Vidéo source : Conférence : Des origines de la Vie sur Terre jusqu'à l'émergence du neurone | Idriss Aberkane
55 275 vues 24 nov. 2023 #conference #aberkane #idrissaberkane
Idriss J. Aberkane
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“Cette conférence entièrement nouvelle a été donnée au Millenium de Lausanne le 11 Novembre 2023 et écrite pour l'occasion. On y parle des origines de la vie sur Terre et des origines de la Vie Mentale, dans le sens de William James, pour qui la psychologie est fondamentalement une "science de la vie mentale". Nous commençons par les pouponnières d'étoile et nous finissons sur la notion d'ego en psychologie... vaste programme donc!”
https://www.youtube.com/watch?v=2FTSrhs_cU8
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On touche le fond en macronie ?
Vidéo source : CREPOL : Soirées de sénateurs VS Fêtes de villages [J'SUIS PAS CONTENT ! #S10E03]
95 777 22 nov. 2023
J'suis pas content TV
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https://www.youtube.com/watch?v=-9bylZwgc8k&t=1s
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Poutine se retrousse les manches & nouveau président en Argentine
Vidéo source : Poutine se retrousse les manches & nouveau président en Argentine #Octogone28
61 577 vues 22 nov. 2023
Scanderia
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https://www.youtube.com/watch?v=rF1HiaCCJoc
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Le réveil 3 ans après - Professeur Christian Perronne
Avant que cette vidéo qui vient d'être publiée sur Youtube ne soit une fois de plus et à nouveau censurée ou supprimée. Youtube fait partie de la doxa. C'est factuel. Perso, j'ai décidé de ne plus publier aucune vidéo sur cette plate-forme plus que partisane. Je changerai peut-être d'avis si un Elon Musk ou équivalent la rachète un jour comme il l'a fait de Twitter rebaptisé X.com et qu'il en a virer tous les individus délétères et malsains qui sont à l'oeuvre.
Video source : Le réveil 3 ans après - Professeur Christian Perronne
5 591 vues 22 nov. 2023
Ethique TV
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Retrouvez notre vidéo précédente avec le professeur
Christian Perronne partisan d'extrême-droite ??? https://www.youtube.com/watch?v=IjHNx4lGpPc
https://www.youtube.com/watch?v=kfN5sFClEaQ
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La science prisonnière des “mandarins” et des “cosmotrouilles” ?
Vidéo source : « Modèle Janus : Quand science et observation font la paire ! » avec Jean-Pierre Petit
30 583 Diffusé en direct il y a 23 heures FRANCE
NURÉA TV - Au coeur de l'inexpliqué
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« Modèle Janus : Quand science et observation font la paire ! » avec Jean-Pierre Petit
Émission diffusée en direct le lundi 20 novembre 2023 à 20h30
Voilà fort longtemps que je n'avais pas eu la joie d'accueillir Jean-Pierre Petit sur Nuréa TV. C'est donc avec d'autant plus de plaisir que je reçois notre savanturier préféré sur notre antenne pour une émission en direct qui sera l'occasion d'échanger avec lui sur l'état de ses travaux et démarches pour les faire reconnaître.
Il nous expliquera en quoi le modèle cosmologique , qu'il défend depuis maintes années avec conviction et passion, et les prédictions expérimentales qu'il implique répondent de la façon la plus pertinente aux observations les plus récentes et les plus poussées. Nous reviendrons également sur les blocages qu'il a rencontrés pour ne serait-ce qu'avoir la possibilité de présenter ses travaux à ses paires et débattre avec eux de leur viabilité, démontrant par là-même la sclérose du monde scientifique.
Jean-Pierre Petit est un scientifique français, physicien, astrophysicien et cosmologue. Il a été directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique et astrophysicien à l’observatoire de Marseille. Il est entre autres un pionnier pour ce qui concerne les recherches sur la magnétohydrodynamique. Il mène également des recherches en astrophysique, plus particulièrement en cosmologie et théorise “Janus”, un modèle cosmologique qu’il développe et défend depuis 40 ans.
Guillaume
https://www.youtube.com/watch?v=CpXodKOCCzo
Nota : L’Académie des sciences est une institution tricentenaire… et elle est pourtant très mal connue en dehors de ses symboles. « La première question que l’on m’a posée quand j’ai appris mon élection a été : vas-tu avoir un habit vert ? », se souvient Claire Mathieu, directrice de recherche CNRS à l’Institut de recherche en informatique fondamentale1 élue à l’Académie en décembre 2019, parmi 18 nouveaux académiciens et académiciennes, dont 8 directeurs et directrices de recherche du CNRS.
« L’Académie des sciences n’est pas un organisme de recherche comme peut l’être le CNRS », explique Didier Roux, académicien délégué à l'Information scientifique et à la communication de l'institution : « Elle est le lieu de l’expression de la communauté scientifique (hors SHS) qu’elle représente dans sa diversité. » Créée en 1666 par Jean-Baptiste Colbert, un des principaux ministres de Louis XIV, l’Académie devait se consacrer au développement des sciences et conseiller le pouvoir en ce domaine. Des missions qui ont peu changé jusqu’à aujourd’hui, malgré de multiples transformations statutaires dus aux bouleversements politiques successifs.
Élus par leurs pairs via une procédure qui « assure la qualité des travaux scientifiques qu’ils mènent mais aussi la capacité des lauréats à interagir avec les autres disciplines », les académiciens se consacrent à plusieurs missions : de l’attribution de plus de 80 prestigieux prix nationaux et internationaux, tels la grande médaille de l'Académie des sciences, à la présentation d’études, recommandations et suggestions à l’attention du gouvernement et de la société. À travers ces rapports et des conseils plus informels, « nous essayons de servir d’intermédiaire avec les politiques », souligne Étienne Ghys, directeur de recherche au CNRS et secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences depuis janvier 2019. (https://www.cnrs.fr/en/node/4475)
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Une première “covidiste” et “charlatane” (?) inquiétée par la justice ?
À condition que notre justice soit totalement indépendante de l’exécutif ? Et sous cette Ripoublique (bananière) toujours En Marche j’ai beaucoup et de plus en plus de doute !
Vidéo source : PLAINTE CONTRE KARINE LACOMBE : ÉMISSION EXCLUSIVE AVEC LE SYNDICAT LIBERTÉ SANTÉ
9 035 Diffusé en direct il y a 20 heures #NEXUS (soit le 20 novembre 2023)
Magazine Nexus
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Avec Virginie de Araujo-Recchia, avocate, Raphaël Sendrez, porte-parole du SLS, et Marc Daoud, directeur de publication de Nexus
Le syndicat de soignants Syndicat Liberté Santé (SLS) a lancé une série de plaintes contre 9 médecins de plateaux qui, selon lui, n’ont pas respecté leurs devoirs déontologiques pendant la crise Covid et ont abusé de la crédulité publique. Après le Pr André Grimaldi, c’est Karine Lacombe qui est visée. « Les manquements du professeur Lacombe à ses obligations déontologiques lors de ses prises de position médiatiques, dans une situation particulièrement trouble, ont participé à la création et au maintien d’un climat de peur sur les Français, et ont ainsi vicié leur consentement libre et éclairé. »
Démarrage live [00:00]
Présentation des invités et contexte de la plainte [5:00]
Les accusations portées contre Karine Lacombe [6:14]
Conflits d'intérêts et liens avec l'industrie pharmaceutique [7:25]
Détails des relations financières et implications éthiques [10:12]
Analyse des actions et déclarations de Karine Lacombe [12:17]
Rôle et responsabilités des médecins influenceurs [14:29]
La plainte ordinale et ses implications [17:02]
Objectifs et actions du Syndicat Liberté Santé (SLS) [21:55]
Exemples et preuves des manquements déontologiques [24:00]
Les effets de la vitamine D dans la prévention et la réduction de la gravité du COVID-19 [35:09]
Le débat sur le port du masque, en particulier chez les enfants [39:03]
Vaccination et expérimentation : l'exemple d'Israël [51:05]
Les implications éthiques et psychologiques des mesures COVID-19 [54:16]
La vaccination des enfants et les considérations sociétales [1:00:08]
Discussion sur la Vaccination des Enfants [1:10:16]
Efficacité et Sécurité des Vaccins [1:12:04]
Vaccination Obligatoire des Soignants [1:14:02]
Consentement et Éthique dans la Vaccination [1:17:00]
Répercussions de la Vaccination Obligatoire [1:20:04]
Vaccination des Soignants et Obligation Vaccinale [1:26:00]
Contraintes et Conséquences de la Vaccination Obligatoire [1:33:03]
Questionnement sur l'État d'Urgence Sanitaire [1:37:00]
Validité des Tests PCR et Gestion de la Pandémie [1:40:01]
Impact sur les Professionnels de Santé et Assimilés [1:43:00]
Conséquences Sociales et Juridiques de la Vaccination Obligatoire [1:47:00]
Aide et Soutien du Syndicat Liberté Santé (SLS) [1:53:00]
Appel à Soutenir la Presse Indépendante et le SLS [1:56:00]
https://www.youtube.com/watch?v=ntFb416DS9I
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Un Bigot face à Une Ripoublique ?
Vidéo source : L'ARCOM oblige Guillaume Bigot à quitter France Souveraine.
19 738 19 nov. 2023
France Souveraine
2,83 k abonnés
Communiqué de Guillaume Bigot expliquant son départ de l'association suite à la décision de l'Arcom de compter son temps de parole en tant que responsable politique.
https://www.francesouveraine.fr/
https://www.youtube.com/watch?v=UPxDKuZED0s
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