MORTALITÉ EN HAUSSE DE 8,4 % : COMPLOT OU HASARD ? | GPTV L’ESSENTIEL

Les chiffres récemment publiés par l’INSEE sont terrifiants : 69 970 décès enregistrés en janvier 2025, soit une augmentation de 8,4 % par rapport à la même période en 2024. Ce bilan dépasse même de plusieurs milliers de morts les pires mois de la crise sanitaire mondiale. Pourtant, un silence assourdissant règne autour de cette surmortalité inquiétante. Pourquoi une telle omission dans les médias ?

Aucune catastrophe naturelle majeure, aucune vague épidémique, ni même des conditions climatiques extrêmes ne peuvent expliquer ce pic de décès. Les explications officielles – vieillissement démographique, impact post-C*vid, fragilités du système de santé – soulèvent plus de questions qu’elles n’apportent de réponses. Derrière cet écran, de nouveaux éléments troublants émergent : hausse des maladies cardiovasculaires, cancers fulgurants, AVC, troubles neurodégénératifs... Des pathologies qui semblent étrangement liées à une période bien spécifique : celle de la généralisation rapide d’injections expérimentales.

En parallèle, la France traverse un effondrement sans précédent de la natalité. Depuis 2022, les naissances chutent dramatiquement, atteignant en 2024 un plancher historique jamais vu depuis la Seconde Guerre mondiale. Si les causes avancées – crises économiques, mutations sociales, nouvelles aspirations – tentent de rassurer, d’autres données plus préoccupantes pointent vers une réalité troublante : baisses significatives de fertilité, augmentation des fausses couches et dérèglements hormonaux. Ces tendances ne sont pas isolées. Elles se répètent dans d’autres pays développés comme l’Allemagne, le Royaume-Uni ou les États-Unis. Devant un tel faisceau d’indices, peut-on encore parler de coïncidences ?

Le véritable scandale réside ailleurs. Pourquoi ce sujet crucial est-il ignoré ? Pourquoi aucune analyse sérieuse ou débat ouvert ne voit le jour ? Y a-t-il des intérêts puissants en jeu ? Reconnaître le lien potentiel entre ces injections et cette crise serait une remise en question dévastatrice pour les politiques sanitaires globales. Admettre qu’un tel événement pourrait découler d’un agenda de contrôle ou de dépopulation ravagerait la confiance déjà fragile envers les institutions internationales.

Des chiffres aussi probants ne peuvent plus être ignorés. Et pourtant, ce silence organisé persiste. Ne vous contentez pas des discours formatés : explorez les vérités qu’on préfère taire.

Mike Borowski lève le voile sur cette situation explosive et connecte les points dans cette nouvelle émission de Géopolitique Profonde. Restez connectés pour découvrir ce que d’autres ne veulent pas que vous sachiez.