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Description : LE FORUM ÉCONOMIQUE MONDIAL - PARTIE 3 Cette série de capsules vidéos se penche sur le Forum économique mondial. Est-ce seulement un inoffensif groupe de discussion entre amis ou un point de rencontre pour la super-élite mondiale? Pourquoi tant de chefs d'État ont-ils été formés par cette organisation? Est-ce complotiste de poser la question ou est-ce simplement de l'analyse politique? Young global leaders school: https://www.younggloballeaders.org/ World government summit: https://www.worldgovernmentsummit.org/home

Description : LE FORUM ÉCONOMIQUE MONDIAL - PARTIE 2 Cette série de capsules vidéos se penche sur le Forum économique mondial. Est-ce seulement un inoffensif groupe de discussion entre amis ou un point de rencontre pour la super-élite mondiale? Pourquoi tant de chefs d'État ont-ils été formés par cette organisation? Est-ce complotiste de poser la question ou est-ce simplement de l'analyse politique? Young global leaders school: https://www.younggloballeaders.org/ World government summit: https://www.worldgovernmentsummit.org/home

La censure est un phénomène qui existe dans notre société depuis plusieurs années, mais qui a atteint un sommet durant la crise sanitaire. Il est temps de mettre au grand jour cette pratique devenue trop courante dans nos démocraties où le droit de parole a pourtant toujours été fondamental. Dans cette seconde vidéo, des experts de différentes disciplines proposent une analyse des mécanismes par lesquels opèrent cette censure avec les conséquences qui en découlent et des stratégies pour s’en défendre. Pierre Brisson, M. Sc. communications : le degré zéro de la censure est l’étiquetage de « complotiste! », première phase d’un processus de stigmatisation de ceux et celles qui tentent de faire valoir un point de vue différent du narratif dominant. Christian Leray, M. A. communications : la censure est omniprésente dans l’univers des médias subventionnés comme sur les réseaux sociaux, à travers différents procédés et la complicité de plusieurs acteurs, institutionnels et privés. Paul Héroux, PhD toxicologie : la censure est partie intégrante de la stratégie marketing de Big Pharma, reposant entre autres sur le pouvoir d’influence de puissants lobbies qui manipulent les gouvernements comme les citoyens consommateurs. Philippe Langlois, M. A. sciences politiques: la censure sera dorénavant enchassée dans une loi au Canada, le Bill C-11, qui rend possible le contrôle des communications sur internet, y compris des courriels échangés entre citoyens, une première en Occident. Pour rejoindre le collectif Réinfo Québec : https://reinfoquebec.ca/formulaire

La censure est un phénomène qui existe dans notre société depuis plusieurs années, mais qui a atteint un sommet durant la crise sanitaire. Il est temps de mettre au grand jour cette pratique devenue trop courante dans nos démocraties où le droit de parole a pourtant toujours été fondamental. Dans cette vidéo, des professionnels provenant de divers milieux témoignent de la censure qu’ils ont vécue au travail et des conséquences désastreuses que cela a eues dans leur vie. Ceux-ci ouvrent la voie à un appel que nous faisons à la population afin de dénoncer cette pratique en partageant leurs propres vécus. Si vous avez été censuré, enregistrez votre propre vidéo de 2-4 minutes et nous publierons votre histoire dans nos réseaux. Reprenons le pouvoir de notre parole ! Johanne Deschamps, M.Sc. consulting : Sanctionnée pour avoir invité ses étudiants à se questionner sur les mesures sanitaires et pour avoir tenu des propos qui n’étaient pas alignés avec le discours officiel, cette enseignante de l’Université St-Paul témoigne du climat de censure qui règne dans le milieu universitaire. Geneviève Raymond, ex-infirmière auxiliaire : Elle témoigne de la perte de confiance, des incohérences et de l’auto-censure qu’elle a vécues dans le milieu de la santé durant la crise du COVID-19, notamment au centre de triage du sans rendez-vous. Simon Ruelland, médecin omnipraticien : Réprimandé et convoqué par le Collège des médecins du Québec pour ses propos tenus sur les réseaux sociaux, ce médecin de famille dénonce l’omerta qui règne dans le domaine de la médecine au Québec. Il dénonce également la gestion chaotique, autoritaire et mortifère de la Covid-19 par le gouvernement et la santé publique, en soulignant l’importance de prendre la parole en cette période de censure. Nadia Cusson, technicienne en laboratoire : Elle relate les incohérences, les conflits d’intérêt et le manque d’éthique dont elle a été témoin en pharmacie durant la pandémie. Dans le milieu de la santé, elle a constaté que le questionnement sur les traitements médicaux et les effets secondaires n’étaient pas les bienvenus. Monica Glidden, B.Sc. criminologie : Elle raconte les sanctions et les conséquences qu’elle a vécues au travail pour avoir annoncé la venue d’une manifestation contre les mesures sanitaires abusives à des collègues, durant la pause…. Patrick Provost, PhD en biochimie, professeur à l’Université Laval, spécialisé en ARN et nanoparticules lipidiques : Il a été victime de censure par son employeur, ses collègues et les médias pour avoir exprimé publiquement son avis contre la vaccination des enfants âgés de 5 à 11 ans pour la COVID-19. Il a également été suspendu sans salaire et il risque maintenant le congédiement pour ses propos allant à l’encontre du discours officiel sur la vaccination. Pour rejoindre le collectif Réinfo Québec : https://reinfoquebec.ca/formulaire

Pierre L'Archevêque, employé du gouvernement fédéral et contraint de se "vacciner" contre la COVID-19 a été victime d'effets secondaires graves de la vaccination. Retrouvez ici son témoignage.

Denis Rancourt PhD se prononce sur la mortalité de jeunes athlètes en lien avec les vaccins géniques. Références : www.denisrancourt.ca www.correlation-canada.org www.ocla.ca www.twitter.com/denisrancourt

Denis Rancourt PhD présente le résultat de ses recherches et en particulier sur l'analyse faite par Theresa Tam pour justifier les mesures sanitaires. Références : www.denisrancourt.ca www.correlation-canada.org www.ocla.ca www.twitter.com/denisrancourt

Denis Rancourt PhD présente le résultat de ses recherches sur la surmortalité notée dans plusieurs pays dans le monde. Références : www.denisrancourt.ca www.correlation-canada.org www.ocla.ca www.twitter.com/denisrancourt

Document qui rend compte des deux jours du colloque de Réinfo Covid Québec tenu les 30 avril et 1er mai 2022 dans la Ville de Québec. Quelque 150 professionnels de tous les secteurs y étaient réunis pour assister à des présentations et travailler à l'élaboration de projets concrets d'action sous le thème ACTEURS DU MONDE DE DEMAIN. Rejoignez le Collectif Réinfo Covid Québec en remplissant le formulaire : https://reinfocovid.ca/formulaire Voir l'intégral de l'allocution de Louis Fouché lors du colloque : https://youtu.be/CWyRDmx5alU

Bernard Massie (Ph.D. en microbiologie; virologie; biotechnologie et thérapie génique) présente les caractéristiques des injections multivariants contre la Covid-19. Que penser du déploiement des vaccins géniques multivariants? Cela pose la question de l’immunité naturelle versus l’immunité vaccinale. Le tout dans un contexte où l’évolution de la pandémie vers l’endémicité par adaptation progressive de la réponse immunitaire et des virus qui deviennent de moins en moins pathogènes avec les vagues de variants successifs. En l’absence d’évidence que les futurs variants seront plus pathogènes, tandis que les nouvelles infections stimulent naturellement notre réponse immunitaire, est-ce scientifiquement défendable de recommander la vaccination aux personnes guéries qui sont en très grande majorité dans la population? Même Fauci admettait qu’il n’est pas utile de vacciner une personne guérie il y a 20 ans dans le cas de l’influenza, alors qu’il tergiverse maintenant pour la COVID-19! La proposition de l’efficacité des vaccins géniques avec une combinaison de variants omicrons et la séquence de la souche d’origine, pour formuler des vaccins géniques dit multivariants est basée sur quatre prémisses pour le moins contestables. 1) La protection conférée par les vaccins géniques serait équivalente, voire supérieure à l’immunité naturelle si on tient compte de la balance risques/bénéfices. Cela suppose qu’on a en effet une bonne évaluation de cette balance risques/bénéfices, qu’on a aucun doute sur la probité des évaluations d’efficacité et d’innocuité par les fabricants, et que la pharmacovigilance passive des autorités de santé est exhaustive et fiable, ce dont on est en droit de douter. 2) La protection éventuelle de ces vaccins géniques peut être prédite par l’analyse des anticorps neutralisants contre la protéine spike. Cette assertion est contestable dans la mesure où on a observé une absence de corrélation entre les titres élevés d’anticorps neutralisants et la protection contre les formes sévères de COVID-19 chez certains patients et, a contrario, une bonne protection contre la COVID-19 chez des individus en l’absence d’anticorps neutralisants contre le virus, ce qui souligne bien l’importance de l’immunité cellulaire. Cela nous amène ainsi à questionner la pertinence scientifique de la mesure des anticorps neutralisants comme unique corrélat de protection immunitaire. 3) Pour rétablir la protection immunitaire conférée par les vaccins géniques qui s’avère plutôt temporaire, il suffit de stimuler la production d’anticorps neutralisants par de nouvelles injections répétées sans se soucier de la perturbation potentielle à l’équilibre du système immunitaire. Il n’existe aucune donnée clinique validant l’innocuité d’une telle procédure. A contrario, la pratique de désensibilisation aux allergies nous enseigne qu’une exposition répétée à un antigène/allergène peut entrainer une réponse de tolérance immunitaire, ce qui est souhaitable pour les allergies. Est-il avisé de prendre le risque d’induire une tolérance immunitaire à la protéine spike par des injections répétées dont la présentation antigénique est totalement différente de l’infection naturelle? 4) Il faudrait ajuster la spécificité de ces anticorps neutralisants pour mieux les apparier à une des souches omicrons dont la prévalence dans la population est transitoire. Si cette approche semble raisonnable, comment prédire que la souche choisie pour le vaccin génique sera en effet un bon appariement avec les prochaines souches dominantes qui se succèdent à tous les trois ou quatre mois? Pourquoi aussi maintenir dans la formulation, la séquence d’origine de la souche de Wuhan, qui n’est plus en circulation? Honnêtement, on n’en sait rien dans les deux cas. Références https://reinfocovid.ca/bernard-massie-obligation-vaccinale-covid-19/ https://insulinresistance.org/index.php/jir/article/view/7 https://www.biznews.com/wp-content/uploads/2022/09/Curing-the-pandemic-of-misinformation-on-Covid-19-mRNA-vaccines-Part-2.pdf https://www.canadiancovidcarealliance.org/wp-content/uploads/2022/10/22OC4_CCCA_Response_to_NACI_Guidelines.pdf https://nakedemperor.substack.com/p/pandemics-of-the-vaccinated?utm_source=post-email-title&publication_id=602373&post_id=80044521&isFreemail=true&utm_medium=email

Bernard Massie (Ph.D. en microbiologie; virologie; biotechnologie et thérapie génique) présente quelques informations au sujet de l'efficacité des injections contre la Covid-19 La question des bénéfices associés aux vaccins géniques Pour répondre à cette question, il est important de bien situer le contexte dans lequel, la campagne de vaccination généralisée a été déployée. L’opération Warp Speed, dans la hâte et la précipitation, a compromis plusieurs des pare-feux mis en place pour assurer la sécurité du public. Les agences règlementaires sont passées de chiens de garde à facilitateurs : a-t-on introduit le loup dans la bergerie? Cela a été admis publiquement par la dirigeante du MHRA au UK (équivalent de la FDA et Santé Canada) dans une conférence en mars 2022. Pour parer à l’hésitation vaccinale, perçue comme un obstacle majeur à la santé publique, on a eu recours à toutes les tactiques de la propagande, sous le couvert de « la science », ou encore du postulat que si on vous ment, c’est pour votre bien. Or, il ne faut jamais oublier que lorsque l’on peut questionner, on pratique la science; si on ne peut questionner on est dans la propagande. Les exemples de propagande sont très nombreux. Mais le plus significatif, concernant la vaccination, est le message initialement diffusé que l’immunité naturelle n’est pas la solution pour sortir de la pandémie, seule la vaccination va nous sortir de l’impasse. Vraiment? Parlez-en aux africains qui ont résisté au chant des sirènes! Puisque ces vaccins géniques ne sont pas stérilisants, comment pourraient-ils prévenir la transmission et protéger les autres? Un autre exemple, pour le moins contestable, est la promotion du message que l’immunité conférée par les vaccins géniques serait supérieure à l’immunité naturelle. Vraiment? Au final, ce qu’il faut bien comprendre pour évaluer les bénéfices potentiels de ces vaccins géniques, est quelles sont les meilleures évidences dont on dispose pour qualifier leur balance risques/bénéfices? C’est primordialement les essais cliniques randomisées en double aveugle dont la méthodologie, lorsque rigoureusement appliquée, vise à mitiger les facteurs confondants qui ne manquent pas de biaiser les données recueillies en absence de contrôles appropriés. Pour évaluer la réduction de la transmission ou des formes graves, lorsqu’on ne les a pas formellement évalué dans les essais cliniques, il faut collecter les données après le lancement de la vaccination. Cette collecte de données, son traitement statistique, la diffusion des résultats et leur interprétation sont sujettes à plusieurs facteurs confondants et biais de communication. Voici une série non exhaustive de facteurs confondants qui ne sont pas adéquatement contrôlés en dehors des essais cliniques : attribution des cas, des malades ou des morts, avec ou de la COVID-19; la stratification des risques de susceptibilité à la COVID-19; l’absence de discrimination dans les populations vaccinées ou non de ceux qui ont déjà été infectés et par conséquent, immunisés; l’attribution arbitraire des gens injectés dans la population des non-vaccinés tant que le délai de 7, 14 ou 21 jours post-injection, selon les juridictions, n’est pas atteint, ce qui biaise les statistiques en faveur des vaccinés. Hormis le doute sur la probité des essais cliniques de Pfizer, qui soulève plusieurs questions sur la fiabilité des conclusions, la seule conclusion de ces études est que ces vaccins géniques réduisent l’occurrence d’infections symptomatiques, pas la transmission ni les formes graves de la COVID-19. Les évidences colligées dans les observations à la suite du déploiement des vaccins géniques dans la population générale ne supportent pas non plus la prévention de la transmission. Quant aux formes plus sévères, les évidences de leur diminution par les vaccins géniques sont plutôt faibles, particulièrement depuis le début de la vague Omicron. L’autre volet important dans cette analyse de la balance risques/bénéfices est l’amélioration de la santé générale, pas seulement de la diminution des formes de la COVID-19. Il faut en effet tenir compte des effets délétères des vaccins géniques qui peuvent altérer la balance risques/bénéfices. Et la liste impressionnante d’effets indésirables collectés sur les différents sites de pharmacovigilance passive, nous incite à nous questionner sur la prétendue innocuité de ces vaccins géniques et à être plutôt d’accord avec les juridictions qui ne recommandent plus la vaccination pour les moins de 50 ou 65 ans selon les pays, à moins d’indication médicale précise pour des gens plus à risques. Références https://stevekirsch.substack.com/p/vinay-prasads-most-important-op-ed?utm_source=substack&utm_medium=email https://www.judicialwatch.org/covid-19-vaccine-campaign/ https://www.theblaze.com/op-ed/horowitz-the-failure-of-the-mrna-shots-is-on-display-for-all-with-open-eyes https://nakedemperor.substack.com/p/pandemics-of-the-vaccinated?utm_source=post-email-title&publication_id=602373&post_id=80044521&isFreemail=true&utm_medium=email https://stevekirsch.substack.com/p/sanity-checks?utm_source=post-email-title&publication_id=548354&post_id=80204743&isFreemail=true&utm_medium=email https://www.canadiancovidcarealliance.org/media-resources/les-inoculations-pfizer-contre-le-covid-19-plus-de-mal-que-de-bien/ https://www.youtube.com/watch?v=xr4lvruZK64

Bernard Massie (Ph.D. en microbiologie; virologie; biotechnologie et thérapie génique) expose la problématique des myocardites associées aux injections contre la Covid-19. Le cas des myocardites associés aux vaccins géniques Les myocardites sont l’un des effets indésirables de la vaccination parmi les plus reconnus. Selon différentes sources, l’incidence des myocardites associés aux vaccins à ARNm chez les jeunes se situerait dans une fourchette de 1/300 à 1/1600. Lorsque c’est déclaré plus rare, de l’ordre de 1/3000 à 1/20,000, il y a lieu de se questionner si les mesures sont représentatives. Mais même avec les risques plus modérés, la balance bénéfices/risques est encore défavorable pour les plus jeunes. La corrélation alarmante entre ces myocardites et la vaccination, surtout dans des populations de jeunes où les risques de santé de COVID-19 sont très faibles, a soulevé beaucoup d’interrogations. La démonstration formelle de l’implication des vaccins à ARNm dans les cas de décès doit s’appuyer sur des analyses plus poussées pratiquées aux cours des autopsies. Les rares autopsies, dont la pratique est découragée, ont relevé des indices pathologiques associant l’inflammation toxiques dans plusieurs tissus, dont le cœur, à la présence de la protéine spike dans ces tissus. D’autres composants de la plateforme des vaccins à ARNm sont également impliqués dans la pathologie observée, ce qui soulève des questions sur l’innocuité de cette plateforme vaccinale même en dehors des applications de la COVID-19. Des analyses plus rigoureuses des ratios risques/bénéfices, examinant les effets cliniques sévères, incluant la mort, ont déjà entrainé le retrait des vaccins géniques à ARNm dans plusieurs pays dont récemment en Floride. Ces cas sévères de myocardites ne seraient que la pointe de l’iceberg, car des cas asymptomatiques très fréquents ont été mis à jour dans deux études indépendantes. Ces deux études récentes, l’une en Thaïlande et l’autre en Suisse, nous alarment sur l’incidence très élevés des myocardites asymptomatiques que l’on peut détecter par exemple par les concentrations anormalement élevées de biomarqueur, dont la troponine, est un indice de détérioration du tissu cardiaque. On ne sait pas les effets à long terme de ces dommages au cœur. Et on peut se désoler que de telles études n’aient pas été exigées par les organismes de régulation et soient produites par des équipes académiques dont les ressources sont significativement plus limitées que les fabricants de vaccins. Mais tout cela se complique, car le financement d’études par les fabricants de vaccins peut soulever des doutes quant aux apparences de confit d’intérêts. Dans un monde idéal, ces études seraient commandées et financées par des organismes publics dont le financement serait exclusivement public, tout en étant à l’abri des influences politiques indues. Mais on est, hélas, encore loin du monde idéal. Malgré le tollé de protestations suscité par la décision du Dr Ladapo, chirurgien en chef de la Floride, on pout tout de même s’interroger sur les fondements éthiques et scientifiques des opposants qui semblent réfractaires à l’approche du Dr Ladapo lequel estime avoir suffisamment de données pour prendre des mesures de santé publique en vertu du principe de précaution. Références https://www.canadiancovidcarealliance.org/media-resources/les-inoculations-pfizer-contre-le-covid-19-plus-de-mal-que-de-bien/ https://www.youtube.com/watch?v=xr4lvruZK64 https://doctors4covidethics.org/wp-content/uploads/2022/08/causality-article.pdf http://qg.media/blog/laurent-mucchielli/lobjection-de-conscience-position-scientifique-legitime-face-a-la-technologie-arnm-a-des-fins-vaccinales/ https://reinfocovid.ca/bernard-massie-obligation-vaccinale-covid-19/ https://thetruthaboutvaccines.com/florida-surgeon-general-joseph-ladapo-recommends-covid-shots/ https://www.youtube.com/watch?v=vveMHtVk_mY https://maajidnawaz.substack.com/p/a-sensible-take-on-the-new-florida?utm_source=post-email-title&publication_id=672411&post_id=80166388&isFreemail=true&utm_medium=email

Excellent témoignage du professeur Patrick Provost (professeur titulaire au Département de Microbiologie-infectiologie et immunologie de la Faculté de médecine de l’Université Laval) lors d'une manifestation en appui à la liberté académique à l'occasion de sa seconde comparution devant le comité de discipline de l'Université suite à une plainte d'un citoyen lui reprochant un "délit d'opinion" au sujet de la vaccination. Montage fait par Réinfo Covid Québec : www.reinfocovid.ca Rejoignez notre collectif en remplissant notre formulaire : www.reinfocovid.ca/formulaire

RÉSUMÉ Dans le cadre des campagnes de vaccination de masse, les vaccins les plus utilisés dans les pays occidentaux sont basés sur l'ARN messager (ARNm). Certains pays ont imposé une vaccination obligatoire et de nombreux autres ont exigé un passeport vaccinal pour accéder aux transports publics et à de nombreuses activités, produisant une discrimination systémique, une exclusion sociale, une ségrégation et une stigmatisation à l'encontre des personnes non vaccinées. Cet article vise à présenter plusieurs incertitudes scientifiques sur lesquelles, les objecteurs de conscience aux injections d'ARNm comme traitement préventif de la COVID-19, pourraient s'appuyer. Des données scientifiques sont présentées sur les vaccins à ARNm, ceux-ci consistent en des ARNm enveloppés dans des nanoparticules lipidiques. Les ARNm artificiels qui n’ont jamais été utilisés comme médicament prophylactique, sont délivrés à nos cellules les obligant à exprimer, contre leur nature, une protéine virale biologiquement active. Contrairement à un médicament produit dans une usine pharmaceutique, et formulé à une dose connue et à un profil de produit protéique bien défini, le vaccin à ARNm agit comme un pro-médicament codant pour la protéine de pointe du virus produite par nos propres cellules; tant la dose que la qualité des protéines produites sont inconnues. Nous ignorons également la distribution des nanoparticules lipidiques portant cet ARNm dans notre corps. Nous considérons que « l’objection de conscience» soulevée par les considérations ci-dessus est une raison suffisante pour refuser les vaccins ARNm ou des technologies similaires comme traitement préventif de la COVID-19. Auteurs : Patrick Provost, Nicolas Derome, Christian Linard, Bernard Massie, et Jean Caron

Réinfo Covid Québec lance une série de capsules avec des professionnels sur des questions importantes. René Lavigueur médecin de famille se prononce sur la promotion des produits expérimentaux comme ceux pour la Covid-19. Visitez notre site : https://reinfocovid.ca

Simon Ruelland, médecin omnipraticien, donne quelques conseils pour conserver une bonne santé suite aux injections contre la Covid-19. Références : Les effets délétères associés au virus SARS-CoV-2 ou induits par les vaccins: Jean-Marc Sabatier https://www.francesoir.fr/societe-sante/jean-marc-sabatier-partie-1 https://www.francesoir.fr/societe-sante/sabatier-2 SARS-CoV-2, COVID-19, and Reproduction: Effects on Fertility, Pregnancy, and Neonatal Life https://www.mdpi.com/2227-9059/10/8/1775 UK health Security Agency - COVID-19 vaccine surveillance report, week 10 https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1060787/Vaccine_surveillance_report_-_week_10.pdf Christine Cotton, Évaluation des essais Pfizer https://christine-cotton.1ere-page.fr/evaluation-essais-pfizer/ ANSM - Vaccins contre le Covid-19 et femmes enceintes https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-vaccins/covid-19-vaccins-et-femmes-enceintes Visitez le site Réinfo Covid Québec : https://reinfocovid.ca

Simon Ruelland, médecin omnipraticien, se prononce concernant les bénéfices et les risques liés aux injections ARNm contre la Covid-19 pour les femmes enceintes. Références : Les effets délétères associés au virus SARS-CoV-2 ou induits par les vaccins: Jean-Marc Sabatier https://www.francesoir.fr/societe-sante/jean-marc-sabatier-partie-1 https://www.francesoir.fr/societe-sante/sabatier-2 SARS-CoV-2, COVID-19, and Reproduction: Effects on Fertility, Pregnancy, and Neonatal Life https://www.mdpi.com/2227-9059/10/8/1775 UK health Security Agency - COVID-19 vaccine surveillance report, week 10 https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1060787/Vaccine_surveillance_report_-_week_10.pdf Christine Cotton, Évaluation des essais Pfizer https://christine-cotton.1ere-page.fr/evaluation-essais-pfizer/ ANSM - Vaccins contre le Covid-19 et femmes enceintes https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-vaccins/covid-19-vaccins-et-femmes-enceintes Visitez le site Réinfo Covid Québec : https://reinfocovid.ca

Simon Ruelland, médecin omnipraticien, répond à question suivante : "Est-il vrai que les injections contre la Covid-19 pourraient nuire à la fertilité future des femmes ?". Les études faites en urgence par les compagnies pharmaceutiques sur des rats concernant ces injections ne rassurent personne. D'autant que les témoignages concernant les troubles menstruels se multiplient chaque jour et que nous savons maintenant que les produits injectés se retrouvent dans les ovaires et testicules. Découvrez l'avis de ce médecin et son expérience en clinique. Références : Les effets délétères associés au virus SARS-CoV-2 ou induits par les vaccins: Jean-Marc Sabatier https://www.francesoir.fr/societe-sante/jean-marc-sabatier-partie-1 https://www.francesoir.fr/societe-sante/sabatier-2 SARS-CoV-2, COVID-19, and Reproduction: Effects on Fertility, Pregnancy, and Neonatal Life https://www.mdpi.com/2227-9059/10/8/1775 UK health Security Agency - COVID-19 vaccine surveillance report, week 10 https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1060787/Vaccine_surveillance_report_-_week_10.pdf Christine Cotton, Évaluation des essais Pfizer https://christine-cotton.1ere-page.fr/evaluation-essais-pfizer/ ANSM - Vaccins contre le Covid-19 et femmes enceintes https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-vaccins/covid-19-vaccins-et-femmes-enceintes Visitez le site Réinfo Covid Québec : https://reinfocovid.ca

René Lavigueur, médecin de famille, se prononce sur cette épineuse question. Utiliser les enfants comme "bouclier" pour protéger un autre segment de la population est une première dans l'histoire de la médecine. Est-ce éthique et justifié ? Visitez le site Réinfo Covid Québec : https://reinfocovid.ca/

Réinfo Covid Québec lance une série de capsules avec des professionnels sur des questions importantes. René Lavigueur médecin de famille se prononce. Visitez notre site : https://reinfocovid.ca

IL EST TEMPS D'ARRÊTER LES INJECTIONS Cette vidéo de 15 minutes a été préparée par les experts médicaux du CCCA, qui sont des pédiatres, des immunologistes et des vaccinologues. Dans un langage compréhensible par tous, cette vidéo résume les études afin d'aider les parents à faire un choix éclairé sur l'opportunité d'administrer ou non les vaccins géniques COVID-19 à leurs enfants.

Une vidéo de Robert Béliveau médecin retraité et porte-parole de Réinfo Covid Québec sur la vaccination des enfants. Il pose trois questions : - Est-ce nécessaire ? - Est-ce efficace ? - Est-ce sécuritaire ? Un 15 minutes bien investi pour comprendre les enjeux de la vaccination des enfants.

Depuis le début de la crise que nous vivons, la majorité des problèmes que vivent les gens ne sont pas d'ordre sanitaire, mais touchent plutôt les sphères sociale, psychologique, économique, relationnelle, juridique et démocratique. Le 2 février 2022, des professionnels des sciences humaines et sociales sont venus exprimer leur point de vue sur les dommages collatéraux des mesures imposées à la population par les autorités depuis deux ans. Ils se sont exprimés en leur nom personnel et son exempts de conflits d'intérêts. Les voici : • Philippe Langlois, politologue, enseignant et chercheur en sciences politiques au collégial, parle de la perte de confiance de la population envers l’État et les institutions sociales. • Caroline Caouette, psychologue, décrit les effets dramatiques sur la santé globale que le conditionnement brutal et répété a eus sur la population. • Maximilian C. Forte, anthropologue, professeur à l’Université Concordia, traite de la censure et du conformisme qui se sont accrus dans les milieux universitaires. Il dénonce également la suppression de la liberté académique et l’alliance des universités canadiennes avec l’État et les entreprises. • Alain Roy, sociologue et chercheur dans le domaine de la toxicomanie, dresse un bilan des dommages collatéraux que la population a subis en raison des mesures sanitaires et politiques prises par le gouvernement québécois. Remplissez notre formulaire et rejoignez le collectif Réinfo Covid Québec sur www.reinfocovid.ca Nous proposons plusieurs groupes d'entraide et d'actions ainsi qu'une infolettre pour nous suivre !

Depuis deux ans, on n’entend parler que des effets néfastes du virus sur notre santé et le système hospitalier. Il est temps d'ouvrir les yeux sur les dommages collatéraux des mesures prises par les autorités pour lutter contre ce virus. Le 2 février 2022, les professionnels sont venus témoigner de la réalité qu'ils côtoient sur le terrain. Voici les professionnels qui se sont exprimés en leur nom personnel et qui sont exempts de conflits d'intérêts : • Anne-Sophie Cunche, orthophoniste, décrit les problèmes liés à l’obligation du port masque chez les enfants. • Éric Dubé, éducateur spécialisé, parle de la dure réalité à laquelle sont confrontés les adolescents depuis le début de la pandémie. • Mélanie Ouimet, consultante en recherche en autisme, nous éclaire sur les impacts cérébraux du stress et de l’anxiété vécus au quotidien chez l’ensemble des jeunes depuis deux ans. • Chanel Lussier, travailleuse sociale et proche-aidante, nous parle de la souffrance que les restrictions sanitaires ont causé chez les personnes âgées. • Anne-Marie Bellemare, travailleuse sociale dans le réseau de la santé, décrit la dégradation des relations et des conditions de travail dans le secteur public suite aux décrets gouvernementaux. Remplissez notre formulaire et rejoignez le collectif Réinfo Covid Québec sur www.reinfocovid.ca Nous proposons plusieurs groupes d'entraide et d'actions ainsi qu'une infolettre pour nous suivre !